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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 03:00
Avez-vous parfois le sentiment que vous étiez mieux avant de commencer une nouvelle pilule ?
Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !

Les médicaments induisent des troubles cognitifs:   Partie1 et Partie2 
La démence et les délires induits par les médicaments sont généralement attribuées à tort à la maladie médicale sous-jacente ou simplement à la «vieillesse». Mais les patients (et même leurs médecins!) pourraient ne pas savoir que par l’arrêt ou la modification de la posologie de nombreux médicaments fréquemment prescrits, la plupart des patients peuvent être restaurés à un état pré-drogue de la fonction mentale
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prof david Healy
« Les experts estiment que seulement 1 à 10% des événements indésirables graves (ceux provoquant une hospitalisation, une invalidité ou un décès) sont rapportés. »
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«Nous pourrions sans grande difficulté supprimer 95% des dépenses liées aux médicaments, et nous aurions même une population en meilleure santé»  

professeur Peter C. Gøtzsche

docteur Robert Mendelsohn
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« L’éditeur du réputé British Medical Journal déclara lui-même que seulement 15 pour cent de toutes les méthodes de la médecine moderne ont une base scientifique ou ont été prouvées »

 professeur david Healy
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 professeur philippe Even
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car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible »

« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie pharmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

« Les médicaments mis sur le marché sont, d’une façon ou d’une autre, de la fausse monnaie. Le médecin qui prescrit ne sait pas forcément ce qu’il fait. La raison? Les décideurs du système de santé se laissent en grand nombre corrompre par les groupes pharmaceutiques ». Pour Marcia Angell, médecin et ancienne membre de la rédaction en chef du New England journal of Medecine, « Il n’est plus possible de croire les recherches publiées, ni de se fier au jugement de son médecin de famille »

«La France détient le record du monde pour les décès dus aux médicaments» Son taux de mortalité lié aux médicaments d’ordonnance est 10 fois plus élevé que dans les pays voisins et un nombre stupéfiant de 20 à 50 fois plus élevé chez les plus de 75 ans.

professeur Peter C. Gøtzsche
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Dr. Rath
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.« L’industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu’ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches…Pour sortir de cette situation intenable, il faudrait rien de moins qu’une révolution : abolition des brevets en pharmacie; interdiction de tout marketing et de toute recherche clinique à l’industrie ; disqualification systématique de tout expert ayant un conflit d’intérêts, qu’il soit financier ou simplement intellectuel. Notre système de santé serait donc menacé non pas par le vieillissement de la population, mais bien par l’explosion de la pharmaceutique. »
professeur Turcotte fernand
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professeur Gotzsche peter
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« Lorsque vous vous rendrez compte de ce qui vous est vendu comme un «remède» vous vous rendrez compte comment vous jouez à la roulette russe avec vôtre vie et celles de vos enfants. » Heller Meria
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« guérir des maladies n’est pas rentable pour les laboratoires »
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Mais « Les différents pays européens ne remontent qu’1 à 10% des cas. » soit environ 4 000 000 morts par an, en Europe par les médicaments (si 5% sont déclarés) ?
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Quand la médecine rend malade
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«Les médicaments utilisés en psychiatrie sont tellement nocifs qu’elles tuent plus d’un demi-million de personnes chaque année parmi les 65 ans et plus aux États-Unis et en Europe. Ce qui rend les drogues psychiatriques comme la troisième cause de mortalité, après les maladies cardiaques et le cancer. Nous pourrions réduire notre consommation actuelle de médicaments psychotropes de 98 % et en même temps améliorer la survie et la santé mentale de la population.»
professeur Gotzsche peter

professeur david Healy
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"la médecine est devenue folle" / ARTE TV
Les autres émissions, reportages, vidéos, sur les médicaments, la médecine et surtout les escroqueries, a ne pas manquer :
médicament l’overdose / débat /  LCP: « la santé des gens, ils n’en n’ont rien a faire »
BIG PHARMA : « Ces criminels ne reculent devant rien, nos vies n’ont aucune valeur »
Pharma – Le Cartel criminel de la «Santé» partie 1 et partie 2

LES MÉDICAMENTS D’ORDONNANCE SONT LA TROISIÈME CAUSE DE MORTALITÉ APRÈS LES MALADIES CARDIAQUES ET LES CANCERS.

Torturées par leurs médecins, avec des médicaments, des millions de personnes, chaque année, en meurent, sont handicapées ou sont poussées au suicide par d'atroces souffrances. Témoignons, manifestons et disons : STOP A LA TORTURE AVEC DES MEDICAMENTS !!!

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:55

"Les médicaments responsables des effets indésirables les plus graves chez les personnes âgées sont les tranquillisants, les somnifères et d'autres médicaments psychotropes ; les médicaments cardiovasculaires tels que les médicaments contre l'hypertension artérielle, la digoxine et les médicaments pour les rythmes cardiaques anormaux ; [13] et des médicaments pour traiter les problèmes intestinaux."

(Les deux  classes de médicaments antihypertenseurs qui font l’objet de leur intérêt très promotionnel (sans doute) sont les IEC (inhibiteurs de l’enzyme de conversion : enalapril, lisinopril, perindopril, …) ou des ARB (bloqueurs du récepteur de l’angiotensine : candesartan, losartran, telmisartan, valsartan, …).)...Les conclusions des auteurs sont d’une grande modération. Ils nous disent que ces médicaments diminuent de 5% la mortalité totale et de 7% la mortalité cardiovasculaire.  Et ça en termes de risque relatif ! Autrement dit, ils ne font pas grand chose, voire rien du tout (ce qu’ils ne disent pas évidemment) !  Beaucoup d’argent dépensé inutilement et beaucoup d’effets secondaires toxiques sans aucun autre effet (supposé) bénéfique que celui de modifier des chiffres de tension.  Mais si nous regardons uniquement  les études comparant un de ces médicaments avec un placebo, il est évident qu’il n’y a aucun effet significatif !
Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y aurait pas d’effet délétère, notamment sur le risque de cancers, ce qu’on ne nous dit pas, évidemment !
Conclusion très personnelle : ces traitements n’ont aucun effet dans le traitement de l’HTA et sont sans intérêt !  Nous l’avons déjà dit dans notre livre !
Il faut donc les abandonner dans cette indication. Sans faiblir ! Courage !
 
une question importante serait de savoir quel médicament spécifique nous devrions préférer pour baisser la tension (la pression artérielle) chez ceux qui, de façon transitoire ou définitive (c’est rarissime) doivent vraiment prendre des médicaments antihypertenseurs.
 
Les récepteurs membranaires de la cellule stimulés par des catécholamines, comme l'adrénaline ou la noradrénaline, portent le nom de récepteurs adrénergiques. Depuis les travaux d'Ahlquist, en 1948, les récepteurs adrénergiques ont été divisés en deux groupes, récepteurs alpha et récepteurs bêta.
 
l’efficacité et l’utilité de la plupart des traitements conventionnels sont remises en cause
 
Des chercheurs ont découvert que les bêta-bloquants et les inhibiteurs calciques, des médicaments utilisés pour soigner l'hypertension, étaient susceptibles de provoquer des troubles de l'humeur.La dépression et certaines maladies cardiovasculaires vont souvent de pair chez de nombreux patients. En outre, des études antérieures ont montré que des personnes qui n'avaient aucun antécédent dépressif sombraient dans la dépression après une crise cardiaque ou une insuffisance cardiaque.Quatre types de médicaments contre l'hypertension ont été étudiésLes chercheurs de l'Université de Glasgow (Royaume-Uni) ont donc cherché s'il existait un lien entre les médicaments prescrits pour traiter l'hypertension artérielle et les troubles de l'humeur.Ils ont donc suivi plus de 144 000 patients âgés de 40 à 80 ans et traités pour hypertension, soit avec des bêta-bloquants soit avec des inhibiteurs des canaux calciques, des diurétiques thiazidiques ou des antagonistes de l'angiotensine. Et ils les ont comparés avec un groupe de 111 000 patients ne prenant aucun de ces médicaments. Ils se sont aperçus que 299 patients sous antihypertenseurs avaient dus être admis à l'hôpital pour dépression majeure.
 
Des études suggèrent que plus de la moitié des gens ayant une hypertension légère sont traités par médicaments même s'il n'est pas démontré qu'ils réduisent la mortalité ou le risque de développer certaines maladies dans ce cas, soulignent Stephen A. Martin de l'Université du Massachusetts et ses collègues.
 
Un tiers des hypertensions artérielles normales et deux tiers des hypertensions instables sont liées à un SAS [1,2]. Deux tiers des fibrillations auriculaires sont dues à un SAS (syndrome d’apnée du sommeil)
 
les anticoagulants seraient inutiles et inefficaces
 
danger et escroqueries
 
L’hypertension artérielle (HTA) est une pathologie cardiovasculaire définie par une pression artérielle trop élevée. Souvent multifactorielle, l'HTA peut être aigüe ou chronique, avec ou sans signes de gravité. On parle communément d'hypertension artérielle pour une pression artérielle systolique supérieure à 140 mmHg et une pression artérielle diastolique supérieure à 90 mmHg.
 
en mon nom personnel, je vais vous donner mon opinion : il devient de plus en plus visible que les personnes traitées pour une supposée HTA succombent plus souvent de chutes (dues à des pressions trop basses ou à des hypoglycémies, les deux provoquées par les médicaments) qu’à des accidents cardiovasculaires avérés … sans parler des cancers que nos experts n’osent pas encore attribuer à leurs médicaments antihypertenseurs, malgré des données convergentes …
 
Régulièrement, des auteurs très sérieux (généralement des épidémiologistes, parfois des médecins) travaillant pour un département de Santé Publique d’un gouvernement d’un pays développé) annoncent qu’ils observent plus de cancers chez des patients traités pour hypertension artérielle (HTA pour les intimes) avec un médicament.
 
"Tout faire pour ne pas avoir à prendre les médicaments de l’HTA ", "effets catastrophiques sur le risque de développer un cancer"  
                                    
ils observent plus de cancers chez des patients traités pour hypertension artérielle (HTA pour les intimes) avec un médicament.
 
Les médicaments contre l’hypertension en question
"De nouveaux effets indésirables sévères viennent d’être dénoncés suite à la prise au long cours (plus de dix ans d’utilisation constante) de certains antihypertenseurs. Les inhibiteurs calciques exposent les femmes à un risque de cancer du sein plus que doublé par rapport au reste de ... "
 
Une liste des très nombreux médicaments pouvant provoquer des AVC ou des accidents cardio-vasculaires
 
Il est ironique que un trouble fréquent qui est souvent traité pharmacologiquement  puisse aussi être causée par d'autres médicaments. Cependant, il est vrai qu'il existe de nombreuses ordonnances qui provoquent une augmentation de la pression artérielle. Certains médicaments courants pour la fibromyalgie ainsi que médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS ou non-stéroïdiens anti-inflammatoires non stéroïdiens) et des corticostéroïdes peut causer l'hypertension. Hypertension artérielle non traitée peut conduire à une foule d'autres problèmes, tels que l'arrêt cardiaque, accident vasculaire cérébral et d'insuffisance rénale.
 
À quoi servent ces médicaments? Les bêtabloquants servent à traiter l’hypertension artérielle, l’insuffisance cardiaque, les arythmies cardiaques (battements irréguliers) et les douleurs thoraciques (angine). Ils sont parfois utilisés pour prévenir de nouvelles crises cardiaques chez des personnes qui en ont déjà subi une, pour traiter les tremblements causés par une glande thyroïde hyperactive ainsi que l’anxiété ou les migraines. Comment agissent ces médicaments? Le mot bêtabloquant est l’abréviation des médicaments bloqueurs bêta-adrénergique. Les bêtabloquants bloquent la réaction des récepteurs nerveux bêta. Ils ralentissent le rythme cardiaque et diminuent la tension artérielle afin de réduire la charge de travail imposée au cœur
 
Une nouvelle recherche a permis de découvrir que des médicaments usuels utilisés suite à une attaque cardiaque pourraient provoquer la mort chez certains patients
La recherche effectuée par des scientifiques du Denver VA Medical Center indique que de combiner la pompe inhibitrice de proton (PPI) au médicament Plavix (clopidogrel) augmente les risques de mort subite de 30%.
Les pompes PPI sont prescrites pour réduire la production d’acide et les problèmes d’estomacs qui lorsqu’utilisées seules ne semblent pas causer de problèmes. Mais la réaction lorsque utilisée avec le clopidogrel semble être fatale et ne devrait être prescrite seulement lorsque les patients ont un historique d’estomacs qui saignent.
 
Les médecins ne doivent pas prescrire ces médicaments chez les patients qui ont survécu à un AVC, le code de déontologie le leur interdit, c’est aussi simple que ça !
 
le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étudene fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli.
Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.Il y a seulement la moitié des résultats d’essais cliniques qui sont publiés, et celles dont les résultats sont négatifs ont deux fois plus de chances de ne pas être publiées. Conséquemment, les informations disponibles aux médecins font en sorte de constamment surestimer les bienfaits des médicaments. Ainsi, comme les médecins sont maintenu dans l’ignorance, les patients sont exposés à des traitements inférieurs, inefficaces, non-nécessaires, plus dispendieux et/ou plus risqués, voire dangereux.
 
« plus la cardiologie prétend nous protéger, plus la mortalité cardiaque s'accroit » philippe Even
 
La vérité sur la campagne de désinformation visant à vous voler votre droit à une vie plus saine et plus heureuse… Et comment les 85 % des malades ont réussi à normaliser la pression artérielle naturellement et sans drogue
 
Le premier article est sur le syndrome pré-hypertensif, crée de toute pièce pour élargir le marché du médicament antihypertenseur et qui peut être combattu par une baisse de la consommation du sel contenu dans les aliments fabriqués par l’industrie agroalimentaire.
 
«D’abord, ne traiter que les hypertensions égales ou supérieures à 160. En dessous, les traitements comportent plus de risques que d’avantages.»
 
La cause principale de l'hypertension est une augmentation de la tension de la paroi artérielle due à une carence en micronutriments essentiels au niveau des cellules artérielles du muscle lisse, engendrant le rétrécissement du diamètre de l'artère et une augmentation de la tension. De nombreuses études cliniques disponibles s'accordent sur les bénéfices de micronutriments non-brevetables, plus particulièrement l'acide aminé arginine et le magnésium. Ils comblent la carence latente en millions de cellules de la paroi vasculaire et détendent ainsi les parois du vaisseau sanguin, ce qui permet d'augmenter le diamètre du vaisseau sanguin et de contribuer à normaliser l'hypertension.
Les produits pharmaceutiques proposés pour le traitement de l'hypertension se concentrent à dessein sur le traitement des symptômes. Par exemple, les béta-bloquants réduisent le rythme cardiaque et les diurétiques diminuent le volume sanguin. Ces produits pharmaceutiques évitent délibérément de corriger les "spasmes" des parois du vaisseau sanguin, qui constituent la cause première de l'hypertension. Dès lors, tout en évitant délibérément de guérir la maladie, ces médicaments ont des effets secondaires néfastes à long terme, provoquant potentiellement de nombreuses nouvelles maladies et, partant, de nouveaux marchés pharmaceutiques.
L’infarctus
La cause première de l'infarctus est un manque de biocatalyseurs cellulaires, de certaines vitamines, de minéraux, de carnitine, du coenzyme Q10 et d'autres transporteurs de bioénergie dans les millions de cellules musculaires cardiaques. Cette carence provoque une altération de la fonction cardiaque et une rétention d'eau dans le corps.  Par contraste, les approches pharmaceutiques du traitement de l'infarctus ignorent délibérément ce fait et se concentrent sur les symptômes. Les diurétiques commercialisés pour le traitement de l'infarctus éliminent non seulement l'eau accumulée dans le corps mais évacuent également les vitamines, les minéraux ainsi que d’autres transporteurs bioénergétiques hydrosolubles. En d’autres termes, les médicaments commercialisés pour le traitement de l'infarctus aggravent en fait la maladie et sont également responsables de la courte espérance de vie des patients cardiaques sous traitement diurétique.
Tout en évitant délibérément de soigner la maladie, ces produits pharmaceutiques éliminent certains nutriments corporels essentiels et aggravent dès lors la cause latente de la maladie. Au niveau mondial, plus de cent millions de patients souffrant de cette maladie ne sont pas guéris et décèdent finalement de manière prématurée en conséquence directe des actes commis par les accusés.
 
Il s'agit d'un excellent compte rendu des effets de permettre la commercialisation des Tamnbocor (flécaïnide) comme un anti-arythmique issu des paramètres intermédiaires "de substitution". Plus tard, il y avait reconnaissance qu'en fait le médicament était associée à des taux accrus de mort cardiaque.
 
Solution aux maladies cardio-vasculaires humaines ?
Sa cause principale est une insuffisance en vitamine C
Publication scientifique dans le « Journal of Orthomolecular Medicine » en 1991 ( 6:125-134) dr Matthias Rath et dr Linus Pauling
 
dues à une réactions indésirables à la digoxine, la forme la plus utilisée de la digitaline (médicaments qui régulent la vitesse et la force des battements cardiaques) chez les personnes âgées. 2 Depuis le plus grand nombre 40% ou plus de ces personnes utilisent ce médicament inutilement (voir la discussion sur la digoxine ), bon nombre de ces blessures sont évitables.
 
La mauvaise qualité des médicaments pour l'hypertension artérielle provoque une insuffisance cardiaque chez environ 40 000 clients aux USA
 
Depuis la nouvelle norme que vienne d’édicter les États-Unis par la voix de L’American Heart Association (AHA) et l’American College of Cardiology (ACC), presque la moitié (47%) de la population va pouvoir entrer dans le clan des hypertendus. En effet, il a été décidé d’abaisser le seuil de 140/90 mm Hg à 130/80 mm Hg.
 
Les radiation médicales sont une cause très importante (sans doute la cause principale) de la mortalité par cancer aux États-Unis au cours du XXe siècle. La seconde est que la radiation médicale, a reçu, même à des doses très faibles et modérés, est une cause importante de décès par cardiopathie ischémique, le mécanisme probable est un rayonnement-induction de mutations dans les artères coronaires, ce qui entraîne chez les clones dysfonctionnels (mini-tumeurs) des cellules musculaires lisses.
Des millions de cas de cancer, et des millions de cas de maladie coronarienne, peuvent être évités grâce à des changements simples et systématiques dans la façon dont les médecins utilisent les rayons X. C'est le message dans ce monumental livre par l'une des autorités les plus distinguées du monde sur les effets des rayonnements sur la santé.
Les scientifiques acceptent de grosses sommes d'argent de sociétés pharmaceutiques
 
Les médicaments représentent le principal agent d’intoxication qui favorise les maladies cardiovasculaires
 
Prenons le cas de la Société Française de Cardiologie,
 
juste un petit rappel :
500 000 décès par an en occident à cause des antidépresseurs, somnifères et neuroleptiques : Les effets bénéfiques des médicaments psychiatriques sont si minces, dit-il, qu’il serait possible d’arrêter l’utilisation actuelle presque complètement sans causer de dommages. Il recommande d’arrêter l’utilisation de tous les médicaments antidépresseurs ainsi que ceux du TDAH et de la démence, et de prescrire seulement une petite fraction des antipsychotiques et des benzodiazépines utilisés actuellement.
Béta-bloquants, antihypertenseurs, hypertension, définitions, généralités, cardiologie
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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:47
Les bêta-bloquants ne doivent pas être utilisés pour traiter l'hypertension artérielle, sauf dans quelques cas particuliers.
Ils recommandent que les bêta-bloquants ne devraient plus être utilisés couramment,

Les médicaments bêta-bloquant sont maintenant considéré comme dangereux pour la santé publique
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d'AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques être retiré de la drogue pour la pression artérielle.

Les bêta-bloquants ont tués 800 000 personnes en 5 ans — « Bonne médecine » ou massacre ?
"Maintenant, ils ont franchi une étape supplémentaire et publié une estimation selon laquelle la même orientation peut avoir conduit à la mort de jusqu'à 800 000 personnes en Europe au cours des cinq dernières années3...

Les bêtabloquants ne serviraient pas à grand chose dans la maladie coronaire
Une étude internationale, l’essai REACH, publié dans la revue Américaine JAMA, remet brutalement le dogme en question. Les bêtabloquants ne protégeraient pas les millions de patients à qui ils sont prescrits de la survenue d’un infarctus, d’un accident vasculaire cérébral ou d’un décès.
 
Sans bien sûr s’embarrasser d’expliquer aucun de ces détails aux cardiaques, hypertendus et angoissés qui venaient les consulter, les cardiologues se mirent à distribuer les « bêta-bloquants » à grande échelle.Ce fut une catastrophe immédiate pour le pronéthanol. On s’aperçut rapidement qu’il provoquait le cancer du thymus (une glande en haut de la poitrine).
 
Dangereuse lenteur du rythme cardiaque avec le propranolol chez le sujet âgé
Shara, a 60 ans, assistant à un de seniors centre, a commencé le propranolol (Inderal, Inderal LA) pour traiter son hypertension artérielle. Malheureusement, son médecin ne s'est pas rendu compte que la dose de ce médicament
parfois utile doit être réduite chez les adultes plus âgés, et la dose prescrite, elle a été trop élevé pour elle.
Deux jours après, elle a commencé à prendre de la drogue, elle a commencé à se sentir très faible. L'effet secondaire était si mauvaise que le troisième jour sur le médicament, elle est allée à la salle d'urgence d'un hôpital, où son pouls était de 36 battements par minute. Ce faible taux dangereusement bien expliqué sa faiblesse.  La drogue a été arrêté, et Shara de la fréquence cardiaque est revenue à la normale.  Ensuite, une faible dose d'un médicament a été prescrit et produit pas d'effets secondaires.
 
Selon des chercheurs britanniques, l’administration de bêtabloquants chez des individus ayant subi un infarctus mais ne souffrant pas d’insuffisance cardiaque pourrait être non seulement inutile, mais nocive.
C’est en tout cas ce que démontre une étude de l’université de Leeds, en Angleterre, portant sur plus de 179 000 patients ayant subit un infarctus du myocarde. Prescrits presque automatiquement dès lors qu’un individu subit une attaque cardiaque, les bêtabloquants – dont l’action ralentit le coeur et régule la pression artérielle – ne seraient pourtant d’aucune utilité hormis en cas d’insuffisance cardiaque.
 
Les bêta-bloquants, des médicaments pour traiter l'hypertension artérielle peut augmenter le risque de développer un diabète de 50 pour cent

D'après un compte-rendu de recherche publié dans la revue Science, le Propranolol® doublerait les risques de développer la maladie de Parkinson.

Les bêtabloquants ont-ils un rôle dans le traitement de l’hypertension?
Dans une analyse regroupant 10 études publiées avant 1999 (n=16 164), ils ont découvert qu’il n’y avait pas de différence significative entre les bêtabloquants et le placebo dans la réduction de la mortalité cardiovasculaire, toutes causes confondues. En raison de ces données, les recommandations canadiennes sur le traitement de l’hypertension1 préconisent de ne pas utiliser les bêtabloquants comme monothérapie initiale pour l’hypertension sans complication chez les personnes âgées (60 ans).

Risque de suicide chez les utilisatrices de bloquants des récepteurs β-adrénergiques, inhibiteurs calciques et inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine

vertiges, faiblesse, problèmes de respiration, insomnie, nausées, crampes abdominales, la perte de la libido et la dépression, cholestérol, diabète
 
hypertension iatrogène

Le Blog de la pression artérielle
Bêta-bloquants : Avantages et Dangers
Je vous mets en garde dès le départ que je suis partial contre les bêta-bloquants. Ma brève expérience avec eux a été horrible, et pour autant que je suis concerné ils sont la drogue propre du diable.

bêta-bloquant
Molécules synthétiques bloquant une partie des effets des catécholamines (noradrénaline, adrénaline, dopamine etc...), elles ont une tendance à ralentir le rythme cardiaque et à faire baisser la pression artérielle ce qui explique leur utilisation comme antihypertenseur et protecteur cardiaque.
L’insuffisance cardiaque est une contre-indication relative à l’utilisation des ß-bloqueurs. augmentation des triglycérides; augmentation du cholestérol et des VLDL (very low density lipoproteins); majoration de l’hypoglycémie chez les diabétiques. risque majoré de développer un diabète de type II chez les hypertendus traités pendant plusieurs années par ß-bloqueurs.
Dépression et idées suicidaires induites par les médicaments

syndrome de sevrage aux bêta-bloquants Si on utilise un bêtabloquant pendant un certain temps, son corps peut devenir dépendant de la drogue. Les symptômes de sevrage des bêta-bloquants découlent de la dépendance à l'égard de l'organisme sur le médicament.
  L'un des premiers signes éprouve des palpitations cardiaques, accompagnées d'essoufflement, sueurs abondantes et une respiration sifflante. Violents maux de tête, douleurs corporelles, vomissements nausées induites et des crampes abdominales intenses peuvent aussi être remarqués chez les individus qui se retirent de ce médicament à la fois.
Tremblements corporelles peuvent également être observés chez ces personnes. Tremblements dans les mains peuvent être assez visibles et la personne est incapable d'organiser quoi que ce soit régulièrement.
Brusque qui découlent de la drogue peut augmenter la sensibilité à l'égard d'adrénaline. Cela peut accroître les risques d'hypertension artérielle, qui à son tour donne naissance à rythme cardiaque irrégulier.
Une fréquence cardiaque élevée peut exercer une pression sur le muscle cardiaque et augmenter la pression sur l'artère coronaire. S'il y a un blocage dans l'artère, puis elle peut aussi conduire à du surmenage des muscles du coeur. Tous ces facteurs peuvent augmenter le risque d'une crise cardiaque ou infarctus du myocarde, qui est un résultat des muscles cardiaques endommagés.
Les patients hypertendus qui se retirent de cette drogue de prescription soudain peuvent éprouver malaise, une augmentation soudaine et forte pression artérielle, tachycardie sinusale, qui est un rythme cardiaque rapide et irrégulier, originaires du nœud du cœur et des palpitations, etc..
Il y a des chances d'un patient, développement de l'hyperthyroïdie, due à la sécrétion des hormones thyroïdiennes, qui peut entraîner une crise thyréotoxique. Cette condition peut devenir mortellement exacerbée, si le diagnostic n'est pas rapide et médicaments pour normaliser l'État ne sont pas administrés.
Patients souffrant de maladies cardiovasculaires peuvent remarquer leur condition aggravation si elles prennent des bêta-bloquants de manière aveugle. Les symptômes de l'angine de poitrine peuvent devenir intenses et se retrouvent dans l'accident vasculaire cérébral, qui peut s'avérer fatale.
 
Un des effets secondaires des bêta-bloquant qui est le plus pénible pour les hommes est la dysfonction érectile ou impuissance. Risque accru de développer un diabète de type 2
 
les antihypertenseurs, en particulier les bêta-bloquants et les diurétiques
 
β-bloquants (surtout les lipophiles)
 
Les bétabloquants, susceptibles d’aggraver les troubles de la glycolyse (et de déclencher une FM) sont à éviter.
 
Beta-blocker withdrawal syndrome.
 
les bêta-bloquants, lorsqu'ils sont utilisés sur une base régulière, peut entraîner une dépendance physique.
 
Antagonistes des récepteurs adrénergiques bêta ou bêta-bloquants
 
bloque l'action des médiateurs du système adrénergique tels l'adrénaline.
 
rxlist.com : Les bêta-bloquants [pindolol (Visken) et le propranolol (Inderal, InnoPran)] ne doit pas être pris avec les phénothiazines (neuroleptiques)
 
Bloquent les récepteurs bêta-adrénergiques pour empêcher l'activité fonctionnelle de l'adrénaline et de la noradrénaline
 
Les bêta-bloquants utilisés en chirurgie cardiaque auguementent les morts du taux d'un tiers
De nouvelles preuves montrant que les médicaments bêta-bloquants augmentent le risque des patients d'AVC, de crises cardiaques et le diabète a conduit à 2 millions de Britanniques sont prises au large de la drogue de la pression artérielle

Le propranolol peut causer la perte de mémoire
La dépression psychiatrique est associé avec des bêta-bloquants, en particulier les plus lipophiles, les bêta-bloquants non sélectifs, comme le propranolol

il existe un risque de syndrome de sevrage à l’arrêt d’un traitement chronique par ß-bloquants caractérisé par une augmentation de la fréquence cardiaque, de la pression artérielle et un risque d’arythmie ou d’ischémie myocardique. Ceci est lié à un effet des ß-bloquants sur la densité des récepteurs ß-adrénergiques postsynaptiques, qui conduit à un état d’hypersensibilité de ces récepteurs, avec une réponse hyperadrénergique au stress en cas de retrait brutal du médicament

Les bêta-bloquants comme le métoprolol et le propranolol peuvent causer le délire et la psychose
Bêta-bloquants ont des effets sur le SNC, dont certains provoquent des syndromes psychiatriques — qui peuvent dépendre d'une propriété auxiliaire tels que lipophilicity.2, contrairement aux agents hydrophiles comme atenolol qui sont excrétés inchangée par les reins, les médicaments lipophiles comme le métoprolol et le propranolol sont métabolisés par le foie et sont censés pénétrer dans le cerveau. Métoprolol a un ratio de concentration cérébrale/plasma environ 20 fois supérieur à celui de atenolol.3

Métoprolol et propranolol peuvent induire délire et psychosis.4,5 les effets secondaires psychiatriques metoprolol sont fréquentes
 
Une métaanalyse met les bêta-bloquants sur la sellette dans l'hypertension artérielle
Umea, Suède - Le Pr Lars H Lindholm (Département de santé publique, Umea, Suède) et ses collaborateurs écornent sérieusement les bêta-bloquants dans le traitement de l'hypertension artérielle. Fort d'une méta-analyse de 13 essais randomisés, ils affirment que les bêta-bloquants font jeu égal avec les autres traitements sur le risque cardiaque mais qu'ils sont moins efficaces sur la prévention de l'accident vasculaire cérébral

Une méta-analyse de 94 492 patients souffrant d'hypertension traités par bêta-bloquants pour déterminer le risque de diabète d'apparition récente.

 
Les petites quantités d'adrénaline (en combinaison avec les anesthésiques locaux) qui peuvent être utilisés dans des procédures dentaires courantes sont peu susceptibles de poser un problème. Il en va de même pour des interventions mineures dermatologiques nécessitant l'injection de petites quantités d'anesthésiques locaux et d'adrénalin


Ne prenez pas de bêta-bloquants à moins d'être sévèrement touché par un des symptômes cités plus haut. Et même dans ce cas, vous ne devriez les prendre qu'à la plus petite dose possible ou même qu'occasionnellement lorsque les symptômes apparaissent.

Psychose de type schizophrénie après traitement par bêta-bloquants.:
Schizophrenia-like psychosis after treatment with beta-blockers
 
Le profil d'effets indésirables des bêtabloquants (propranolol, etc.) est surtout constitué de : 

  • insuffisances cardiaques, ralentissements de la conduction, bradycardies, hypotensions artérielles ;
  • bronchospasmes, liés au blocage des récepteurs B2 des muscles lisses bronchiques, exposant les patients asthmatiques ou atteints d'un syndrome obstructif à une dyspnée sévère voire mortelle ;
  • extrémités froides, exacerbations d'un syndrome de Raynaud ;
  • troubles digestifs, dont des diarrhées ;
  • rares hypoglycémies, modifications lipidiques ;
  • céphalées, asthénies, dépressions, sensations vertigineuses, hallucinations, confusions, troubles du sommeil y compris des cauchemars ;
  • troubles de l'érection ;
  • rares paresthésies, neuropathies périphériques, arthralgies, crampes, atteintes musculaires ;
  • rares pneumopathies, fibroses pulmonaires, pleurésies ;
  • au sevrage brutal : angors, morts subites.
  • Le sotalol, du fait de propriétés particulières, partage aussi les risques d'interactions des antiarythmiques et n'est pas un médicament de l'hypertension artérielle.
 
Afin d'être en conformité avec la loi française: Nous vous signalons que vous ne devez tenir aucun compte de tout ce qui est dit dans ce blog. En cas de maladie, vous devez consulter un médecin et vous conformer à ses prescriptions.

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Plus de mal que de bien

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:35
"Tout faire pour ne pas avoir à prendre les médicaments de l’HTA ", "effets catastrophiques sur le risque de développer un cancer" 
 
(Les deux  classes de médicaments antihypertenseurs qui font l’objet de leur intérêt très promotionnel (sans doute) sont les IEC (inhibiteurs de l’enzyme de conversion : enalapril, lisinopril, perindopril, …) ou des ARB (bloqueurs du récepteur de l’angiotensine : candesartan, losartran, telmisartan, valsartan, …).)...Les conclusions des auteurs sont d’une grande modération. Ils nous disent que ces médicaments diminuent de 5% la mortalité totale et de 7% la mortalité cardiovasculaire.  Et ça en termes de risque relatif ! Autrement dit, ils ne font pas grand chose, voire rien du tout (ce qu’ils ne disent pas évidemment) !  Beaucoup d’argent dépensé inutilement et beaucoup d’effets secondaires toxiques sans aucun autre effet (supposé) bénéfique que celui de modifier des chiffres de tension.  Mais si nous regardons uniquement  les études comparant un de ces médicaments avec un placebo, il est évident qu’il n’y a aucun effet significatif !
Ce qui ne veut pas dire qu’il n’y aurait pas d’effet délétère, notamment sur le risque de cancers, ce qu’on ne nous dit pas, évidemment !
Conclusion très personnelle : ces traitements n’ont aucun effet dans le traitement de l’HTA et sont sans intérêt !  Nous l’avons déjà dit dans notre livre !
Il faut donc les abandonner dans cette indication. Sans faiblir ! Courage !
 
L'hypertension inférieure à 160/100 ne devrait pas être traitée par médicaments selon le BMJ
Des études suggèrent que plus de la moitié des gens ayant une hypertension légère sont traités par médicaments même s'il n'est pas démontré qu'ils réduisent la mortalité ou le risque de développer certaines maladies dans ce cas, soulignent Stephen A. Martin de l'Université du Massachusetts et ses collègues.

A en juger par le grand nombre de médicaments contre l’hypertension artérielle qui sont prescrits aujourd'hui, en particulier aux personnes âgées, l'hypertension artérielle semble avoir atteint des proportions épidémiques. Le hic, c’est que ces médicaments ne favorisent pas la guérison, ni ils n’empêchent pas crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux. En raison des effets secondaires graves, y compris la mort, les médicaments contre l’hypertension souvent ne rallongent pas la vie ; ils la raccourcir.

Les traitements de l’hypertension provoquent des cancers
ils observent plus de cancers chez des patients traités pour hypertension artérielle (HTA pour les intimes) avec un médicament....

antihypertenseurs et grave déficience mentale
grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) : 14% sont induit par les médicaments contre une pression artérielle élevée
 
Les médicaments couramment utilisés pour abaisser la tension artérielle peuvent effectivement avoir l'effet inverse: augmenter la tension artérielle dans un pourcentage statistiquement significatif des patients
 
Cardiologie         
L’aliskirène (Rasilez), un antihypertenseur inhibiteur de la rénine        
Le bézafibrate (Befizal), un hypocholestérolémiant (anticholestérol)         Le ciprofibrate (Lipanor ou autre), un hypocholestérolémiant        
Le fénofibrate (Lipanthyl ou autre), un hypocholestérolémiant        
L’ivabradine (Procoralan), un inhibiteur du courant cardiaque        
Le nicorandil (Adancor ou autre), un vasodilatateur        
L’olmésartan (Alteis, Olmetec et associations), un antihypertenseur        
La trimétazidine (Vastarel ou autre), substance aux propriétés incertaines utilisée dans l’angor
 
Certains de ces médicaments sont fortement associés à des effets secondaires psychiatriques (tableau 5 ) et présentent une toxicité synergique avec les psychotropes ( Brown & Stoudemiere, 1998 , British Medical Association et Royal Pharmaceutical Society of Great Britain, 2004 ). Les inhibiteurs calciques ont été utilisés expérimentalement comme stabilisateurs de l'humeur malgré leur potentiel de provoquer des changements d'humeur et une psychose. Ces agents peuvent induire une acathisie, qui doit être distinguée du délire agité. Les premiers rapports d'une association majeure entre le propranolol et la dépression ont été récemment révisés, avec une diminution de la fréquence de la dépression actuellement suggérée ( Brown & Stoudemiere, 1998 ). Tous les diurétiques peuvent induire des effets psychiatriques secondaires aux perturbations métaboliques. Dans l'ensemble, les vasodilatateurs n'influent pas sur le SNC, à l'exception du nitroprussiate de sodium, qui peut causer une encéphalopathie. Hydralazine peut indirectement causer des symptômes psychiatriques par le développement d'un syndrome de lupus.
 
Presque toutes les classes d’antihypertenseurs entraînent des troubles de l’érection. C’est le cas des bêtabloquants, mais aussi des diurétiques (qui augmentent l’excrétion d’urine), comme par exemple le Lasilix® (furosémide)
 
Antihypertenseurs et dépression
L'association entre les médicaments antihypertenseurs et la dépression a été reconnue depuis plus de 40 ans. Plus récemment, notre compréhension du rôle des neurotransmetteurs dans l'étiologie de la dépression nous a permis de comprendre comment les médicaments antihypertenseurs provoquent une dépression. L'appauvrissement de l'aminé biogène est maintenant considéré comme sous-jacent à la nature organique de la dépression, et bon nombre des médicaments utilisés pour traiter l'hypertension interfèrent avec ce système. Il existe maintenant des preuves convaincantes que la réserpine et l'alpha-méthyldopa peuvent induire ou aggraver la dépression à travers leurs actions sur le système nerveux central

liste de plus de 70 médicaments: Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.) Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine

Plusieurs types de médicaments pour l'hypertension artérielle ont été associées à un risque élevé de cancer.
Les Drs. Ilke Sipahi, Daniel I. Simon et James C. Fang ont terminé une analyse de plus de 60.000 patients désignés au hasard à prendre soit un placebo ou un médicament de la pression artérielle connue sous le nom de l'angiotensine-récepteur (ARB). Ils ont constaté que l'ARB est liée à un risque accru de cancer. Par exemple, le risque de cancer du poumon était de 25 pour cent plus élevé chez les participants prenant ARB que chez les sujets témoins. Ces résultats ont été publiés en ligne dans la revue "The Lancet Oncology" en Juillet 2010.
....Non seulement les bloqueurs des canaux calciques à action rapide été liés avec le cancer, mais ils ont été montré pour augmenter le risque de décès d'une crise cardiaque, dit le National Institutes of Health, qui dit aussi qu'ils doivent être prescrits avec prudence.
 
Sujets âgés et substances psychoactives : état des connaissances
De nombreux médicaments donnent des signes physiques de dépendance avec des signes de sevrage en cas d’arrêt brutal tels que les médicaments antihypertenseurs, ou même les médicaments antidépresseurs tels que les ISR
 
l'arrêt brutal peut entraîner un syndrôme de sevrage
 

Scandale autour d’un médicament vedette contre l’hypertension
Ce médicament est commercialisé par Novartis sous le nom de Tareg en France et de Diovan pour des pays comme les Etats-Unis, la Grande-Bretagne ou le Japon.

Bad pharma
Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.

Certains médicaments contre l'hypertension sont dangereux lorsque pris ensemble, met en garde l'ANSM
Des études récentes ont montré que les associations de médicaments appartenant à ces classes (soit un IEC avec un ARA II; soit un IEC ou un ARA II avec un aliskirène) ne sont pas plus efficaces qu'un seul de ces médicaments.  Elles ont aussi montré que ces associations sont liées à des risques accrus d'effets secondaires:     
augmentation de 66 % du risque d’hypotension;    
de 55 % du risque d’hyperkaliémie (un trouble hydro-électrolytique défini par un excès de potassium dans le plasma sanguin);    
de 41 % du risque d’insuffisance rénale;    
de 27 % du risque d’arrêt de traitement.

Médicaments anti-hypertension et chutes: échanger un risque contre un autre?
Les médicaments prescrits à la majorité des personnes âgées pour contrôler leur pression artérielle augmentent de 30% à 40% le risque de blessures graves dues aux chutes, selon une étude publiée dans le Journal of American Medical Association (JAMA) Internal Medicine.  Ces blessures ont un effet similaire sur la mortalité et la perte fonctionnelle aux accidents vasculaires cérébraux (AVC) et aux crises cardiaques que ces médicaments visent à éviter, soulignent les auteurs.

La Fondation canadienne des maladies du cœur vient de lancer un appel à tous les médecins du pays, les exhortant d’arrêter au plus vite de prescrire conjointement deux classes de médicaments fréquemment utilisés au cours de l’hypertension artérielle. Il s’agit d’une part des inhibiteurs de l’enzyme de conversion, chargés d’annuler l’action des hormones impliquées dans l’hypertension et d’autre part des sartans, une des familles pour traiter l’hypertension (voir en p. 3).soit : Acuitel, Briem, Captolane, Captopril, Cibacène, Coversyl, Énalapril, Fozitec, Justor, Korec, Lisinopril, Lopril, Moex, Odrik, Périndopril, Prinivil, Quinapril, Ramipril, Renitec, Tanatril, Triatec, Zestril et Zofenil, avec : Alteis, Aprovel, Atacand, Cozaar, Kenzen, Micardis, Nisis, Olmetec, Pritor, Tareg et Teveten.

Antihypertenseurs : pas de bénéfice prouvé pour l'hypertension légère
""Un traitement antihypertenseur est justifié quand la pression artérielle est supérieure ou égale à 160/95 mm Hg, même en l'absence de risque cardiovasculaire particulier, car alors certains médicaments diminuent l'incidence des complications cardiovasculaires"", précise la revue.

Cancer du sein : des médicaments contre l'hypertension liés à un risque doublé
L'utilisation pendant dix ans et plus des anti-hypertenseurs de la classe des inhibiteurs calciques (ou antagoniste du calcium), qui est une classe très prescrite, était liée à un risque 2,4 fois plus élevé de cancer du sein canalaire (le plus fréquent) et 2,6 fois plus élevé de cancer du sein lobulaire.

Inhibiteurs de l’enzyme de conversion et cancer du poumon
 
Il existe sept types de médicaments antihypertenseurs. Le point sur les traitements de l’hypertension.
Liste des médicaments diurétiques : Aldactone, Esidrex, Eurelix, Fludex, Furosémide Génériques, Indapamide Génériques, Lasilix, Modamide, Spiroctan, Spironolactone Génériques, Spironone, Tenstaten
Liste des médicaments diurétiques en association : Aldactazine, Amiloride, Hydrochlorothiazide Génériques, Isobar, Modurétic, Prestole, Spiroctazine, Spironolactone Altizide
Liste des médicaments bêtabloquants : Acébutolol Génériques, Artex, Aténolol Génériques, Avlocardyl, Betatop, Bisoprolol Génériques, Célectol, Céliprolol Génériques, Corgard, Detensiel, Kerlone, Lopressor, Métoprolol Génériques, Mikelan, Nebilox, Nébivolol Génériques, Propranolol Génériques, Sectral, Seloken, Temerit, Ténormine, Timacor, Trandate, Trasicor, Visken
Liste des inhibiteurs de l’enzyme de conversion : Acuitel, Bénazépril Génériques, Briem, Captopril Génériques, Cibacène, Cilazapril Génériques, Coversyl, Énalapril Génériques, Fosinopril Génériques, Fozitec, Justor, Korec, Lisinopril Génériques, Lopril, Moex, Odrik, Périndopril Génériques, Prinivil, Quinapril Génériques, Ramipril Génériques, Renitec, Tanatril, Trandolapril Génériques, Triatec, Zestril, Zofenil
Liste des inhibiteurs de l’angiotensine II : Alteis, Aprovel, Atacand, Cozaar, Kenzen, Losartan Génériques, Micardis, Nisis, Olmetec, Pritor, Tareg, Teveten
Les inhibiteurs de la rénine
Liste des inhibiteurs calciques : Adalate LP, Amlodipine Génériques, Amlor, Baypress, Caldine, Chronadalate, Deltazen, Diacor, Dilrène, Diltiazem Génériques, Félodipine Génériques, Flodil, Icaz, Iperten, Isoptine, Isoptine LP, Lercan, Lercanidipine Génériques, Loxen, Mono-Tildiem, Nidrel, Nifédipine LP Génériques, Nitrendipine Génériques, Vérapamil Génériques, Zanidip
Liste des vasodilatateurs : Alpress, Doxazosine Génériques, Eupressyl, Lonoten, Médiatensyl, Minipress

Association d’antihypertenseurs : la liste des médicaments
Bêtabloquants + inhibiteurs calciques : Bêta-Adalate, Logimax, Tenordate
Bêtabloquants + diurétiques : Bisoprolol Hydrochloro- Thiazide Génériques Conebilox Lodoz Logroton Moducren Temeritduo Tenoretic Trasitensine Viskaldix Wytens
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + diurétiques : Acuilix, Benazepril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Bipreterax, Briazide, Captea, Captopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Cibadrex, Co-Renitec, Cotriatec, Ecazide, Énalapril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Fosinopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Foziretic, Koretic, Lisinopril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Périndopril Indapamide Génériques, Preterax, Prinzide, Quinapril Hydrochloro-Thiazide Génériques, Zestoretic, Zofenilduo
Inhibiteurs de l’enzyme de conversion + inhibiteurs calciques : Coveram, Lercapress, Tarka, Zanextra
Inhibiteurs de l’angiotensine II + diurétiques : Alteisduo, Coaprovel, Cokenzen, Coolmetec, Cotareg, Coteveten, Fortzaar, Hytacand, Hyzaar, Losartan Hydrochloro-Thiazide Génériques, Micardisplus, Nisisco, Pritorplus
Inhibiteurs de l’angiotensine II + inhibiteurs calciques : Axeler, Exforge, Exforge Hct, Sevikar
Inhibiteurs de la rénine + diurétiques : Rasilez Htc
Réserpine + diurétique : Tensionorme

Comment agissent vos médicaments antihypertenseurs ?
On regroupe les médicaments antihypertenseurs en plusieurs classes. Chaque classe agit différemment pour faire baisser la tension artérielle.

Syndromes de sevrage avec une thérapie antihypertensive
Un arrêt brusque du traitement antihypertenseur réussi peut entraîner dans l'une des opérations suivantes :
Relativement rapide, asymptomatiques, retour de la pression artérielle (PA) aux niveaux de prétraitement
Retour plus lent, asymptomatique de BP aux niveaux de prétraitement
Rebond de la BP avec signes et symptômes d'hyperactivité sympathique (un syndrome de sevrage)
Dépassement de la BP au-dessus des niveaux de prétraitement

Syndrome de sevrage après arrêt du traitement antihypertenseur. (pubmed)

Le sevrage brutal de ces médicaments peut produire un syndrome d'hyperactivité sympathique incluant nervosité, tachycardie, céphalées, agitation et nausées 36 à 72 heures après l'arrêt du médicament. Un syndrome de sevrage peut survenir après l'arrêt de presque tous les types d'antihypertenseurs, mais se produit surtout avec les bêta-bloquants, la clonidine, méthyldopa et guanabenz

Syndrome de sevrage de médicament antihypertenseur.

Après l'arrêt des médicaments antihypertenseurs, les patients peuvent présenter des symptômes associés aux catécholamines excessive, avec ou sans une augmentation rapide de la pression artérielle ; Cela correspond au syndrome de sevrage de médicament antihypertenseur. Bien que la plupart du temps liées à l'interruption de la clonidine, ce syndrome a été signalé à suivre le retrait des nombreux autres antihypertenseurs
 

Le médicament Buflomédil (Fonzylane), utilisé dans les cas d’artérites, a des effets indésirables cardiaques et neurologiques parfois mortels.

Les antagonistes calciques sont massivement commercialisés sous le faux prétexte de traiter l'hypertension et de prévenir les attaques cardiaques alors que leur utilisation à long terme est réputée causer une augmentation de la fréquence des attaques cardiaques, des infarctus et d'autres maladies.

Diurétiques : ils nuisent aux reins !
Ils provoquent une déshydratation et une hypokaliémie : ils font baisser dangereusement le taux de potassium dans le sang. Ils causent à terme des lésions des reins, appelées néphropathies tubulo-interstitielle, qui ne sont plus réversibles au bout d'un certain temps et conduisent à l’insuffisance rénale chronique" En savoir plus sur

Les Dangers des diurétiques thiazidiques en traitement de l'Hypertension
Cette étude a souligné trois défauts métaboliques qui incluent une hyponatrémie (faible en sodium), hypokaliémie (potassium bas) et insuffisance rénale aiguë où il y avait au moins une diminution de 25 % de fonction rénale. Wow ! Et il y en a plus qui ne figurait pas dans cet article qui oblige le taux élevé de cholestérol et d'acide urique (prédispose à la goutte), résistance à l'insuline (prédispose au diabète de type 2), par exemple et magnésium faible !

restreindre l'usage en raison de risques d'effets secondaires indésirables graves: risque accru de lésions du foie et du poumon et d'évènements cardiovasculaires
 
forte toxicité, particulièrement sur le plan cardiaque, pulmonaire et thyroïdien
 
« L’olmésartan (Alteis, Olmetec, et en association à doses fixes avec l’hydrochlorothiazide dans Alteisduo, Coolmetec ou avec l’amlodipine dans Axeler, Sevikar), un antagoniste de l’angiotensine II (alias sartan),
 
Les laboratoires Biogaran et le Dr Barrière ont été condamnés à verser plus de 140 000 euros de dommages et intérêts à Jean-Pierre Dubourdieu, pour ne pas avoir suffisamment informé son père sur les risques qu’il prenait avec ce médicament.
 

hypertension
La cause principale de l'hypertension est une augmentation de la tension de la paroi artérielle due à une carence en micronutriments essentiels au niveau des cellules artérielles du muscle lisse, engendrant le rétrécissement du diamètre de l'artère et une augmentation de la tension. De nombreuses études cliniques disponibles s'accordent sur les bénéfices de micronutriments non-brevetables, plus particulièrement l'acide aminé arginine et le magnésium. Ils comblent la carence latente en millions de cellules de la paroi vasculaire et détendent ainsi les parois du vaisseau sanguin, ce qui permet d'augmenter le diamètre du vaisseau sanguin et de contribuer à normaliser l'hypertension. 
Les produits pharmaceutiques proposés pour le traitement de l'hypertension se concentrent à dessein sur le traitement des symptômes. Par exemple, les béta-bloquants réduisent le rythme cardiaque et les diurétiques diminuent le volume sanguin. Ces produits pharmaceutiques évitent délibérément de corriger les "spasmes" des parois du vaisseau sanguin, qui constituent la cause première de l'hypertension. Dès lors, tout en évitant délibérément de guérir la maladie, ces médicaments ont des effets secondaires néfastes à long terme, provoquant potentiellement de nombreuses nouvelles maladies et, partant, de nouveaux marchés pharmaceutiques.      

Certains médicaments contre l’hypertension artérielle pendant la grossesse multiplieraient par trois les risques de malformation du fœtus. Les plus connus, le Lotrel et le Lisipronil, commercialisés depuis 25 ans, sont aujourd’hui sérieusement mis en cause. Ces anti-hypertenseurs, dits " ACE ", augmenteraient les risques de malformation cardiaque et de dérèglement cérébral chez l’enfant s’ils sont absorbés durant les trois premiers mois de grossesse. Consommés durant les six derniers mois, ils pourraient provoquer un blocage des reins du fœtus, retarder sa croissance, ou pire, entraîner la mort.…

Une étude publiée en 2014 dans le Journal of American Medical Association (JAMA) Internal Medicine montrait que les médicaments prescrits à la majorité des personnes âgées pour contrôler leur pression artérielle augmentaient de 30 % à 40 % le risque de blessures graves dues aux chutes.

Une analyse indépendante vient d'établir qu'ils ne procurent visiblement aucun réel bénéfice dans les formes légères de cette affection.
Une récente étude vient de mettre à mal un dogme médical vieux de plusieurs décennies. Un groupe d'experts indépendants a annoncé que certains médicaments utilisés dans le traitement de cas bénins d'hypertension artérielle ne réduisaient pas la fréquence des crises cardiaques et des accidents cardio-vasculaires pas plus que le nombre total de décès qu'ils peuvent provoquer.
La plupart des Américains souffrant d'une une tension artérielle trop élevée (68 millions de malades en tout) présentent une hypertension légère (dite de stade 1): leur pression systolique (chiffre le plus élevé) est situé entre 140 et 159 millimètres de mercure (Hg), tandis que leur pression diastolique (chiffre le moins élevé) est situé entre 90 et 99 mm Hg.

Les bénéfices des médicaments antihypertenseurs pour l'hypertension légère ne sont pas clairs.
Les médicaments antihypertenseurs utilisés dans le traitement de l'adulte (prévention primaire) présentant une hypertension légère (une pression artérielle systolique de 140-159 mmHg et/ou une pression artérielle diastolique de 90-99¬mmHg) n'ont finalement pas réduit la mortalité ou la morbidité dans les ECR. Le traitement a conduit 9¬% des patients à interrompre le traitement en raison d'effets indésirables.
 
ANTIHYPERTENSEURS, HYPOTENSEUR liste biam
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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:33
Les médecins sont une des premières causes de la maladie d'Alzheimer
 
danger !
 
"plus ils prenaient les médicaments «à succès» prescrits par les médecins plus ils étaient malades."
"Les patients qui prenaient des médicaments montraient des signes alarmants d'inflammation et une diminution de la qualité de vie - en particulier en termes de faible énergie, d'oubli, de démence et de prise de poids conduisant au diabète, etc."
 
Plusieurs médicaments pris par les personnes âgées sont liés à un risque accru de déclin cognitif et de mortalité, surtout lorsqu’ils sont combinés, selon une étude, publiée dans le Journal of the American Geriatrics Society.
 
Liste de 82 médicaments anticholinergiques potentiellement risqués pour les aînés
Ces médicaments incluent des antidépresseurs, des anxiolytiques (tranquilisants), des antiépileptiques, des antitussifs, des antihypertenseurs, des diurétiques, des antiashmatiques (dont certains sont utilisés comme somnifères), des médicaments pour le traitement du glaucome et des incontinences urinaires.

Score 1 (effet anticholinergique léger):

Alimemazine, Alprazolam , Alverine , Atenolol , Beclometasone, dipropionate , Bupropion hydrochloride , Captopril , Chlorthalidone Cimetidine hydrochloride , Clorazepate, Codeine , Colchicine
Dextropropoxyphene , Diazepam (valium),  Digoxin, Dipyridamole
Disopyramide, Fentanyl, Fluvoxamine , Furosemide , Haloperidol, Hydralazine , Hydrocortisone , Isosorbide , Loperamide, Metoprolol , Morphine , Nifedipine , Prednisone/Prednisolone, Quinidine , Ranitidine
Theophylline , Timolol maleate , Trazodone , Triamterene

Score 2 (effet anticholinergique modéré):

Amantadine , Belladonna alkaloids , Carbamazepine (tégrétol) ,, Cyclobenzaprine , Cyproheptadine, Loxapine, Meperidine , Methotrimeprazine , Molindone, Oxcarbazepine, Pethidine hydrochloride
Pimozide

Score 3 (effet anticholinergique sévère):

Amitriptyline , Amoxapine, Atropine , Benztropine , Chlorpheniramine
Chlorpromazine , Clemastine, Clomipramine , Clozapine, Darifenacin , Desipramine , Dicyclomine , Diphenhydramine, Doxepin , Flavoxate
Hydroxyzine (atarax),  , Hyoscyamine , Imipramine (tofranil),  Meclizine
Nortriptyline , Orphenadrine , Oxybutynin ,Paroxetine (déroxat), Perphenazine , Procyclidine , Promazine , Promethazine
Propentheline , Pyrilamine , Scopolamine , Thioridazine, Tolterodine
Trifluoperazine , Trihexyphenidyl , Trimipramine

Les médicaments ayant des propriétés anticholinergiques peuvent causer le délire, mais à plus long terme des effets qui peuvent être confondus avec les signes précoces de démence, n’ont pas été étudiées aussi bien pour cette classe de médicaments.

Les médicaments Anticholinergiques pourraient augmenter le risque du handicap cognitif, mort dans des personnes plus âgées
Un effet secondaire de beaucoup de médicaments utilisés généralement semble augmenter les risques du handicap cognitif et de la mort dans des personnes plus âgées, selon la recherche neuve aboutie par l'Université d'East Anglia (UEA).
 
Les agents anticholinergiques dans le viseur
C’est une substance présente dans les médicaments qui est responsable de cette dégradation : l’anticholinergique. Un agent anticholinergique trouble la communication entre les neurones et donc dégrade la mémoire, l’apprentissage et l’activité musculaire. Il est présent dans de nombreux médicaments comme l’antidépresseur doxépine, le somnifère diphénhydramine, ou même l’oxybutynine.Selon l’étude, publiée aux Etats-Unis dans le Journal of the American Medical Association, Internal Medicine, il suffit d’être exposé pendant trois ans, à quelques milligrammes par jour de ces médicaments pour courir un risque élevé de démence. Elle est la première à définir ce risque sur les individus de 65 ans et plus et indique qu’il pourrait persister même après l’arrêt des traitements. Au total, 23% des participants ont développé une démence, et pour le vérifier, certains participants ont signé pour une autopsie de leur cerveau après leur décès.
 
ANTICHOLINERGIQUE : des médicaments courants accroîtraient le risque de démence
Un anticholinergique est une substance qui s’oppose à l’action de l’acétylcholine, une molécule jouant le rôle de médiateur chimique et permettant la communication entre deux neurones. Parmi les médicaments anticholinergiques, on trouve des antidépresseurs, somnifères et anxiolytiques, mais aussi des antihistaminiques (rhinites allergiques, asthme) et des médicaments contenant de la warfarine (cardiopathies, embolies pulmonaires, thromboses veineuses, infarctus du myocarde etc.), de la codéine (analgésiques) ou encore du furosémide (hypertension, insuffisance rénale, œdèmes etc.).

Des médicaments qui provoquent un début d’Alzheimer
Des médicaments potentiellement anti-cholinergiques peuvent entraîner des détériorations modérées de certaines capacités cognitives (ou intellectuelles) chez la personne âgée, affectant en particulier le temps de réaction, la mémoire immédiate ou différée, ou le langage. C’est la conclusion à laquelle est parvenue Karen Ritchie et son équipe (Equipe de recherche Inserm 361 « Pathologies du système nerveux : recherche épidémiologique et clinique », Montpellier).

Mes médicaments Anticholinergiques , y compris les antidépresseurs, liés à des problèmes ultérieurs cognitifs
Une nouvelle étude, publiée dans le JAMA Neurology, a constaté que les personnes âgées qui ont pris régulièrement des médicaments anticholinergiques, y compris certains médicaments contre le rhume ou les antidépresseurs, avaient des aptitudes cognitives les plus pauvres et les volumes inférieurs du cerveau. «Je ne serais certainement pas conseiller à mes grands - parents ou même mes parents de prendre ces médicaments à moins qu'ils doivent", a déclaré l' auteur principal de l'étude, le Dr Shannon Risacher, le magazine Time.

Liste des médicaments anticholinergiques
Tégrétol (carbamazépine), atarax (hydroxizine)…

liste de plus de 70 médicaments: Ces molécules qui mettent en danger la vie des seniors (les médicaments qui ont un effet dit «anticholinergique» favorisent la mortalité des personnes âgées.) Le Figaro cite des tranquillisants tels que Largactil, Terfluzine, des antitussifs tels que Broncalene, Broncorinol, des antidépresseurs tels que Elavil, Laroxyl, Tofranil, des antihypertenseurs comme Atenolol, des diurétiques comme Aldalix, Furosemide, des antiashmatiques comme Asmabec, Beclojet, des antiépileptiques comme Tegretol, des molécules prescrites dans le traitement du glaucome telles qu’Azarga, Combigan, Cosopt ou pour les incontinences urinaires comme Ditropan, Oxybutynine
 
quelques anticholinergiques : bêtabloquants
Le timolol est un médicament de la classe des bêta-bloquants disponible sous forme de comprimé pour administration par voie orale, et de collyre ou pommade pour la voie oculaire. Par voie générale, les indications sont le traitement de l’hypertension artérielle et la prophylaxie de l’angor.
Le métoprolol est une molécule chimique avec des propriétés bêta-bloquantes sur le système cardiovasculaire humain. Commercialisé sous plusieurs noms dont Lopressor et Bétaloc, il est disponible sous forme de sel de tartrate ou de succinate.
L’aténolol est une molécule de la classe des bêta-bloquants, utilisée pour traiter l’hypertension artérielle, l’angine de poitrine ou l’infarctus du myocarde. Introduit en 1976, il a été développé pour remplacer le propranolol dans le traitement de l’hypertension.

quelques anticholinergiques : antihypertenseurs
L’hydralazine / Apresoline est un relaxant du muscle lisse, très semblable à la dihydralazine, de la classe des hydrazinophtalazines (en)3 utilisé pour traiter l’hypertension artérielle en agissant comme vasodilatateur essentiellement sur les artères et les artérioles.
La nifédipine / Procardia, Adalat est une dihydropyridine antagoniste du calcium (voir aussi : Inhibiteur calcique). Ses indications principales sont l’angine de poitrine (en particulier l’angine de Prinzmetal) et l’hypertension artérielle, bien que de nombreuses autres indications y aient été rajoutées récemment, tels la maladie de Raynaud
Le triamtérène / Dyrenium  est un médicament diurétique agissant sur la réabsorption de potassium au niveau du rein, généralement utilisé en association dans le traitement de l’hypertension et des œdèmes. Il est utilisé en France dans le traitement de l’hypertension artérielle
Furosémide / Lasix  : Ce médicament est un diurétique indiqué dans les cas suivants : Œdème d’origine cardiaque ou rénal3 ; œdème d’origine hépatique, généralement en association avec un épargneur de potassium3 ; hypertension artérielle3.
Le captopril / Capoten est un médicament utilisé dans le traitement de l’hypertension artérielle. Il agit en empêchant la production par l’organisme de molécules qui régulent la tension en provoquant une vasoconstriction….Le captopril dérive du venin de jararaca
Antihypertenseurs / anticholinergiques et démence / Alzheimer sur ordonnances
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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:31
Bêta-bloquants

 

Nom générique Appellations commerciales
Acébutalol Sectral & 40 autres
Aténolol Tenormin & 200 autres
Bambutérol Bambec & 30 autres
Bétaxolol Kerlone & 90 autres
Bisoprolol Zebeta et 500 autres
Carvédilol Coreg et 200 autres
Céliprolol Cordiax & 30 autres
Labétalol Trandate & 50 autres
Métoprolol Lopressor, Toprol & 400 autres
nadolol Corgard & 5 autres
Nébivolol Asivol & 250 autres
Pindolol Visken & 10 autres
Propranolol Inderal & 80 autres
sotalol Bétapace

Antihypertenseurs

Inhibiteurs de l'ECA

 

Nom générique Appellations commerciales
Bénazépril Lotensin & 20 autres
Captopril Capoten & 190 autres
Cilazapril Dynorm & 30 autres
Enalapril Vasotex & 600 autres
Fosinopril Monopril & 130 autres
Lisinopril Zestril & 300 autres
Moexipril Univasc & 5 autres
Pérendipril Coversyl & 500 autres
Quinapril Accupril & 90 autres
Ramipril Lopace, Tritace & 400 autres
Trandolapril Gopten & 50 autres
Antihypertenseurs plus âgés
Nom générique Appellations commerciales
Apraclonidine Lopidine & 15 autres
Clonidine Catapres & 50 autres
Doxazosine Cardura et 250 autres
Guanabenz Wytensin & 5 autres
Guanfacine Tenex & 4 autres
Hydralazine Apresoline & 20 autres
Méthyldopa Aldomet & 30 autres
Prazosine Minipress & 15 autres
Rauwolfia Rauwolfia & 20 autres
Réserpine Serpasil & 20 autres
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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:30

cytochrome P450
Introduction a la métabolisation des médicaments

Polymorphisme du CYP2D6
Le CYP2D6 est un enzyme hépatique clé dans l’élimination de certains médicaments comme les antidépresseurs, les neuroleptiques, des beta-bloquants, des opiacés, (liste de substrats in vitro).  Le CYP2D6 participe à la synthèse du métabolite actif du tamoxifene. Il existe de très nombreux polymorphismes du CYP2D6 (plus de 40).

CYP2D6 * 4 allèle polymorphisme augmente le risque de la maladie de Parkinson: résultats de la méta-analyse
En conclusion, la présente méta-analyse indique clairement que le CYP2D6 * 4G / Un polymorphisme désigne une susceptibilité génétique accrue à PD dans la population générale, mais particulièrement chez les Caucasiens. Cependant, des études d'échantillons plus grandes avec une conception plus rigoureuse et des contrôles bien adaptés sont nécessaires pour surmonter les limitations mentionnées ci-dessus, en particulier les enquêtes prenant les autres polymorphismes allèles du CYP2D6, ainsi que le statut de phénotype en considération.

polymorphismes CYP2D6

La variation allélique
au niveau du gène CYP2D6 a été rapportée comme étant associée à la maladie de Parkinson (PD) et le corps de Lewy (LBD), mais pas avec la maladie d'Alzheimer (MA). AD a été associée à l'apolipoprotéine E (ApoE) ε4 allèle chargement.

Méthodes: Nous avons examiné CYP2D6 et apoE polimorphisms dans un échantillon de 259 patients atteints de démence, 210 d'entre eux avaient un diagnostic de la MA, et 107 témoins sains.

CYP2D6 phénotypes et risque de la maladie de Parkinson : une méta-analyse.

La méta-analyse actuelle a montré que le phénotype métaboliseur lent du CYP2D6 confère une susceptibilité génétique significative à PD chez les Caucasiens, surtout chez les sujets blancs britanniques..2013.

CYP2D6 polymorphisme, l’exposition aux pesticides et la maladie de Parkinson. l’effet des pesticides est augmenté chez les métaboliseurs lents (environ deux fois)  Barbeau et al.(1985) ont postulé que la maladie de Parkinson (PD; 168600 ) est le résultat de facteurs environnementaux agissant sur ​​les personnes génétiquement prédisposées dans un contexte de vieillissement normal, et a noté que de nombreux xénobiotiques neurotoxiques potentiels sont décontaminées par le cytochrome P450 hépatique. Chez 40 patients atteints de la MP, Barbeau et al. (1985) ont trouvé qu’un nombre important de patients avaient partiellement ou totalement défectueux 4-hydroxylation de la débrisoquine par rapport aux témoins; En outre, les métaboliseurs lents avaient apparition précoce de la maladie. Dans une étude de 229 patients atteints de la maladie de Parkinson et 720 contrôles, Smith et al. (1992) ont constaté que ceux avec le phénotype de métaboliseur faible avaient un 2,54 fois (95% intervalle de confiance de 1,51 à 4,28) de risque accru de la maladie de Parkinson. Elbaz et al. (2004) et Deng et al. (2004) a présenté des preuves suggérant que PM sont à risque accru de développement de PD que lorsqu’il est combiné avec l’exposition aux pesticides.

…La concentration de métabolites O-déméthylation peut être autant que 45 fois plus élevé chez les personnes ayant un métabolisme du CYP2D6 ultrarapide comme dans ceux qui ont mauvais métabolisme

Bêta-bloquant : le génotype du récepteur ß2-adrénergique prédit la mortalité en post-infarctus
L'un des facteurs individuels pouvant influencer la réponse à un traitement pharmacologique est la génétique. Dans le cas des BB, il semble que le polymorphisme génétique des récepteurs β-adrénergiques soit associé à diverses modifications physiologiques et pharmacologiques. Des résultats récents ont d'ailleurs mis en évidence un retentissement de ces facteurs génétiques sur des marqueurs de l'efficacité du traitement : pression artérielle [2]] et fraction d'éjection systolique chez les insuffisants cardiaques [3]]. Une nouvelle étude d'une équipe du Missouri aux États-Unis vient maintenant de montrer un lien, en post-infarctus, entre le polymorphisme des gènes codant pour les récepteurs adrénergiques et, la survie des patients traités par BB [4].

risque d'intoxication aigu chez les métaboliseurs lents ?
Intoxications aiguës par les bêta-bloquants : aspects cliniques et thérapeutiques

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:21
accident vasculaire cérébral et accident cardio-vasculaire sur ordonnances
Une liste des très nombreux médiaments pouvant provoquer des AVC ou des accidents cardio-vasculaires
 
anti-cholesterol
escroqueries et dangers
 
anticholesterol
Les médecins ne doivent pas prescrire ces médicaments chez les patients qui ont survécu à un AVC, le code de déontologie le leur interdit, c’est aussi simple que ça !
 
Contrairement à la croyance actuelle que la réduction du cholestérol avec les statines diminue l'athérosclérose, nous présentons une perspective que les statines peuvent causer la calcification des artères coronaires et peuvent fonctionner comme des toxines mitochondriales qui altèrent la fonction musculaire dans le cœur et les vaisseaux sanguins par l'épuisement de la coenzyme Q10 et 'hème A', et donc la génération ATP. Les statines inhibent la synthèse de la vitamine K2, le cofacteur de l'activation de la matrice Gla-protéine, qui à son tour protège les artères de la calcification. Les statines inhibent la biosynthèse des protéines contenant du sélénium, dont la glutathion peroxydase sert à supprimer le stress peroxydatif. Une altération de la biosynthèse du sélénoprotéine peut être un facteur d'insuffisance cardiaque congestive, rappelant les cardiomyopathies dilatées observées avec une carence en sélénium. Ainsi, l'épidémie d'insuffisance cardiaque et d'athérosclérose qui sévit dans le monde moderne peut paradoxalement être aggravée par l'utilisation généralisée des statines. Nous proposons que les lignes directrices actuelles sur le traitement par les statines soient réévaluées de façon critique.
Il faut interdire les statines !

" plus ils prenaient les médicaments «à succès» prescrits par les médecins plus ils étaient malades."
"Les patients qui prenaient des médicaments montraient des signes alarmants d'inflammation et une diminution de la qualité de vie - en particulier en termes de faible énergie, d'oubli, de démence et de prise de poids conduisant au diabète, etc."

Le site du dr Lundell

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l’autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:20

Sevrage antihypertenseurs Clonidine : les médicamets psychiatriques ne sont pas les seuls médicaments a provoquer un PAWS (syndrome prolongé de sevrage)
Le sevrage brutal ou la diminution trop rapide d'un grand nombre, mais pas tous, des médicaments antihypertenseurs peuvent généralement entraîner des symptômes de l'hyperactivité et de régulation à la hausse aiguë des récepteurs adrénergiques bêta du système nerveux sympathique similaires à celles des médicaments psychotropes puissants, provoquant l'hypertension de rebond pire que l'hypertension il est le traitement, les attaques de panique, l'anxiété, la dépression et d'idées suicidaires. Il est important de noter que certains d'entre nous ont trouvé la voie difficile que nous sommes plus sensibles à nerveux sympathique sur-stimulation après le sevrage brusque ou la diminution rapide du traitement des médicaments antihypertenseurs que d'autres et, semblables à l'ignorance dans effilée médicaments psy, la plupart des médecins sont largement inconscients et inexpérimenté dans jaugeage des symptômes clairs de syndrome de sevrage aigu prolongée (PAWS) des médicaments de la pression artérielle, écrit le patient hors comme un hypocondriaque ou avec un trouble anxieux.

Les syndromes prolongés de sevrage aux médicaments

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16 octobre 2016 7 16 /10 /octobre /2016 02:20
« Des chercheurs de la London School of Economics, du Harvard Pilgrim Health Care Institute de l’Ecole de Médecine de Harvard, et de l’Ecole de Médecine de l’Université de Stanford ont comparé les effets de l’exercice physique à celui des médicaments sur la mortalité de quatre maladies (prévention  secondaire des maladies coronariennes, réadaptation après AVC, traitement de l’insuffisance cardiaque et prévention du diabète).
La prévention secondaire est le traitement des patients ayant déclaré une maladie, pour éviter qu’elle n’entraîne des conséquences graves.
Ils ont analysé les résultats de 305 études randomisées en double aveugle impliquant 339.274 personnes et n’ont trouvé aucune différence statistiquement significative entre l’exercice physique et les traitements médicamenteux sur la prévention secondaire des maladies cardiaques et la prévention du diabète.
Quant aux patients victimes d’AVC, l’exercice était plus efficace que le traitement médicamenteux.
Pour le traitement de l’insuffisance cardiaque, seuls les médicaments diurétiques étaient plus efficaces que l’exercice, ainsi que tous les  autres types de traitement. » (1)
L’exercice physique, autant ou plus efficace contre les maladies cardiaques que les médicaments. Voilà une bonne nouvelle pour les malades qui n’auront plus à subir les effets secondaires des traitements médicamenteux, et pour les finances de la Sécurité sociale, qui n’aura plus à rembourser des médicaments devenus inutiles.
Mais peut-être certains malades du cœur seront-ils déçus, car faire de l’exercice leur paraîtra plus contraignant qu’avaler une simple pilule ?
 
Remplacer les bêtabloquants ?
Ma mère prend un cachet de 50 mg d’Aténolol Mylan pour de l’hypertension depuis une quinzaine d’années. Existe-t-il une alternative ?
Il n’est pas possible de stopper brutalement les bêtabloquants, au risque de provoquer un rebond important de tension. Comme leur nom l’indique, ces médicaments ne traitent pas la cause de l’hypertension : ils ne font que la bloquer. Ce faisant, ils peuvent entraîner des complications, notamment chez les personnes âgées, comme des chutes par hypotension orthostatique.
 
Hypertension : yoga contre bêtabloquants
À écouter la médecine conventionnelle, la prise de bêtabloquants serait l’un des seuls traitements efficaces contre l’hypertension, une maladie que la médecine conventionnelle avoue ne pas savoir guérir. Un échec que conteste depuis des millénaires le yoga, et plus particulièrement la yoga-thérapie, ou yoga cikitsa en sanskrit.
 
dr Rath : Solution au dilemme de la maladie cardio-vasculaire humaine
sa cause primaire est une insuffisance en ascorbate, menant au dépôt de lipoprotéine(a) et de fibrinogène/fibrine dans la paroi vasculaire
 
Les infarctus et les AVC peuvent être éradiqués
"...Le premier est le facteur nutritionnel, le deuxième est le facteur activité physique, le troisième est le facteur intoxication : le tabac, les polluants aériens, les polluants nutritionnels – les pesticides –  et surtout les médicaments. Les médicaments représentent le principal agent d’intoxication qui favorise les maladies cardiovasculaires. Et enfin le quatrième facteur est ce que j’appellerai les conditions d’existence, les difficultés de la vie (familiale, professionnelle) ou le stress (et inversement notre aptitude à surmonter ces difficultés) ce que j’appelle dans mon livre le sens de notre vie..."
"...Dans certaines circonstances, ces traitements peuvent être miraculeux. En phase aigüe d’infarctus, lorsque vous débouchez une artère et que vous posez un stent ou lorsque vous donnez de puissants traitements qui détruisent le caillot, immédiatement la personne se sent mieux, vous lui sauvez la vie !  Mais en prévention au long cours, tous ces traitements sont de façon générale inutiles et nuisibles, certains favorisent les complications comme je le montre dans mon livre, et surtout ils n’ont pas d’impact sur l’espérance de vie...."
 
Sa cause principale est une insuffisance en vitamine C
Publication scientifique dans le « Journal of Orthomolecular Medicine » en 1991 ( 6:125-134) dr Matthias Rath et dr Linus Pauling
 
« Des chercheurs de la London School of Economics, du Harvard Pilgrim Health Care Institute de l’Ecole de Médecine de Harvard, et de l’Ecole de Médecine de l’Université de Stanford ont comparé les effets de l’exercice physique à celui des médicaments sur la mortalité de quatre maladies (prévention  secondaire des maladies coronariennes, réadaptation après AVC, traitement de l’insuffisance cardiaque et prévention du diabète).
La prévention secondaire est le traitement des patients ayant déclaré une maladie, pour éviter qu’elle n’entraîne des conséquences graves.
Ils ont analysé les résultats de 305 études randomisées en double aveugle impliquant 339.274 personnes et n’ont trouvé aucune différence statistiquement significative entre l’exercice physique et les traitements médicamenteux sur la prévention secondaire des maladies cardiaques et la prévention du diabète.
Quant aux patients victimes d’AVC, l’exercice était plus efficace que le traitement médicamenteux.
Pour le traitement de l’insuffisance cardiaque, seuls les médicaments diurétiques étaient plus efficaces que l’exercice, ainsi que tous les  autres types de traitement. » (1)
L’exercice physique, autant ou plus efficace contre les maladies cardiaques que les médicaments. Voilà une bonne nouvelle pour les malades qui n’auront plus à subir les effets secondaires des traitements médicamenteux, et pour les finances de la Sécurité sociale, qui n’aura plus à rembourser des médicaments devenus inutiles.
Mais peut-être certains malades du cœur seront-ils déçus, car faire de l’exercice leur paraîtra plus contraignant qu’avaler une simple pilule ?
 
naturalnews
 
méditerranéen
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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 21:11

Et les hautes instances cardiologiques ? :

Là aussi, tout est loin d'être clair...
Quelques exemples :

  • Prenons le cas de la Société Française de Cardiologie, fin 2013 sur les 43 membres du conseil d'administration 2012-2016, 31 déclaraient des liens avec un ou plusieurs organismes pharmaceutiques (dont plusieurs commercialisent des statines) et 4 personnes n'apparaissaient tout simplement pas sur la liste. Je n'ai pas examiné les autres personnes, mais pour les curieux voici le lien : SFC : Déclaration de Relations Professionnelles 2013
  • D'autre part, il est des situations qui m'interpellent, comme le financement de cette même SFC par les laboratoires Servier et ce malgré l'affaire du tristement célèbre Médiator[16] [17].
  • LA SFC le reconnaît d'ailleurs elle-même en parlant desrelations de partenariat que cette société peut être amenée à développer avec l’industrie du médicament, du matériel et des dispositifs médicaux. toute en évitant soigneusement de citer pour quelles sommes ces mêmes industries la finance... Mais il n'est qu'à voir la liste des partenaires du congrès de la SFC (12-15 janvier 2011)[18] pour en avoir une petite idée !
  • Pour ce qui est de l'European Society of Cardiologie ou de l'European Atherosclerosis Society, c'est extrêmement nébuleux. Je n'ai pas réussi à trouver de lien vers la présentation des conflits d'intérêts; par contre en fouillant sur le web j'ai trouvé plusieurs documents officiels citant les conflits d'intérêts des membres de ces 2 sociétés à l'occasion de diverses publications. Voir celui-ci, ou encore celui-ci et aussi celui-là. Époustouflant, non ?

Je n'ai pas eu le courage d'éplucher d'autres organismes (notamment aux USA...), par contre je vous engage vivement à lire les articles suivants : le premier qui égratigne une poignée d'associations médicales Quand Big Pharma infiltre les Associations médicales : un cas d’école Français et celui-ci (tiré de l'excellent site Formindep) qui démontre les relations entre les labos pharmaceutiques, les associations médicales et leurs publications : Les dernières recommandations européennes, américaines et françaises sur la prise en charge des dyslipidémies sont farcies d’intérêts et fortement biaisées.

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11 février 2016 4 11 /02 /février /2016 20:59

Fibrillation auriculaire, accident vasculaire cérébral et traitement anticoagulant
1- le risque d’AVC chez les personnes souffrant de FA a sans doute été exagéré, 
2- les avantages du traitement avec les AVK (par rapport à une thérapie plus douce avec un antiplaquettaire type aspirine) ont été exagérés, 
3- les inconvénients des AVK (et des nouveaux anticoagulants) sont sous-estimés.

previscan….: Les dangers des anticoagulants : Parmi les effets secondaires des AVK citons la fatigue chronique, la pâleur inhabituelle, les nausées fréquentes, la perte importante d’appétit, l’amaigrissement maladif, la chute accélérée de cheveux. La prise prolongée de ces médicaments est associée à un risque accru de saignement, responsable de 4 000 décès et 17 000 hospitalisations par an.

 AVK, antivitamine k (anticoagulant) : Previscan, Pindione, coumadine, Sintrom, Warfarine, Apegmone, Minisintrom…
les traitements par AVK exposent à des risques hémorragiques, parfois sévères, mais souvent évitables. Ainsi, environ 17 000 hospitalisations sont dues, chaque année, aux complications hémorragiques de ce type de traitement.
 
Les anti-vitamine K ont été découverts par hasard, au Canada, dans les années 1920 après stockage de luzerne (trèfle) après une récolte non fânnée correctement. Les moisissures s’étant développé sur cette luzerne avaient tué tous le bétail ayant consommé « foin », tous morts d’hémorragies intestinales massives a permis de suspecter l’effet [1]. Sa première application fut dans la compositions de la “mort-aux-rats”, provoquant des hémorragies intestinales globales conduisent à la mort de l’animal.
 
Quant aux antiagrégants plaquettaires (AAP) qui empêchent l’agglutination des plaquettes, c’est « une gigantesque arnaque » pour le spécialiste, qui ne jure que par l’aspirine. La promotion du clopidogrel (Plavix®) de Sanofi serait ainsi « le casse du siècle », « l’arnaque planétaire », ou « comment vendre 10 milliards de dollars par an un médicament inutile. » Les nouveaux AAP tels que le clopidogrel, le prasugrel et le ticagrelor n’ont selon lui aucun intérêt dans la prévention des problèmes cardiovasculaires (infarctus, formation de caillot sanguin…). Prescrits seuls ou en association avec l’aspirine, ces nouveaux médicaments sont censés avoir une meilleure efficacité que les anciennes générations d’AAP.
 
Ici, en plus de rappeler les liaisons dangereuses entre certains médecins et l’industrie pharmaceutique, le médecin pointe du doigt les nouveaux anticoagulants oraux (les NACO, dont Pradaxa®, Xarelto® et Eliquis®) et les antiagrégants plaquettaires (AAP). Les premiers sont des médicaments utilisés dans le traitement des phlébites et embolies pulmonaires, ainsi que dans la prévention des accidents vasculaires cérébraux (AVC) dans certaines pathologies, selon l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm). Mais celle-ci précise que les nouveaux anticoagulants oraux, « peuvent, comme les autres anticoagulants, être à l’origine de complications hémorragiques parfois graves. » Cependant, ils font l’objet d’un suivi renforcé afin de mesurer le risque, qui ne semble pas pour l’instant supérieur à celui des anticoagulants de la génération précédente (antivitamines K, ou AVK). Mais pour le Pr Even, les résultats des essais cliniques menés sur les NACO ne sont pas fiables, car menés « sur des malades idéaux, sélectionnés, et non représentatifs de la population générale. » Sauf qu’en réalité, cette méthode est la base de tous les essais cliniques donnant lieu à une autorisation de mise sur le marché, pour éviter les biais. Qu’à cela ne tienne, dans son livre, le Pr Even recommande de « systématiquement diviser par deux les résultats positifs et multiplier par deux les effets secondaires. »
 
clopidogrel/plavix, prasugrel/efient,  extrait du livre corruptions et crédulité en médecine (dont une bonne partie parle des anticoagulants, antiagrégants) : » Il n’y a aucune raison de remplacer le clopidogrel / PLAVIX générique par le prasugrel / EFIENT, beaucoup plus cher. LE PRASUGREL NE SERT A RIEN ET D’AILLEURS, LE CLOPIDOGREL NON PLUS »… »l’utilité du ticagrelor n’est pas démontré, …..ne sert a rien…. »
 
Alerte sur des médicaments anticoagulants
 
Le médicament anti-coagulant Dabigatran, vendu en Belgique sous l’appellation Pradaxa, a causé cinq fois plus de décès dans le monde que ce qu’a admis jusqu’ici son producteur, Boehringer Ingelheim.
 
1. Analgésiques à base d’opiacés, 2. Sédatifs, 3. Antipsychotiques, 4. Antidépresseurs, 5. Anticoagulants, 6. Médicaments contre le cholesthérol, 7. AINS, 8. Tylenol, 9. Aspirine, 10. Antibiotiques Médicaments cardio-vasculaires : 4 vasodilatateurs coronaires et artériels : Adancor (Derono), Ikorel (Sanofi), Vastarel et Trivastal (Servier), 1 anti-insuffisance cardiaque : Procoralan (Servier),  1
antiarythmique : Multas (Sanofi), 3 anticoagulants ou antiagrégants : Ticlid (Sanofi), Pradaxa (Boehringer), Xigris (Lilly)

Alerte sur des médicaments anticoagulants
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS ORAUX, LE PROCHAIN MEDIATOR ?

pradaxa
Boehringer Ingelheim a accepté l'année dernière de payer 650 millions de dollars pour régler environ 4000 plaintes dans les tribunaux fédéraux et étatiques déposées par des patients et leurs familles qui ont réclamé le pharmacien n'a pas correctement avertir que Pradaxa causé mortelles et parfois mortelles saignements.

Pradaxa® : un anticoagulant responsable d'hémorragies mortelles
Prescrits pour prévenir la formation de caillots sanguins, les anticoagulants sont la première cause d'effets indésirables médicamenteux graves à l'origine d'hospitalisation (17 000 par an environ en France) et de morts (environ 5 000 par an en France). La revue Prescrire alerte aujourd'hui sur le risque d'hémorragies mortelles lié à la prise du dabigatran (Pradaxa ®). Ainsi, 256 décès par hémorragie liée au dabigatran ont été enregistrés en Europe et près de 800 hémorragies graves ont été notifiées en Australie, Canada, Japon, Nouvelle-Zélande et aux États-Unis d'Amérique (dont plusieurs centaines de morts au total).

pradaxa, eliquis, xarelto
Une "bombe à retardement" qui pourrait dépasser l'affaire du Mediator. C'est dans ces termes alarmistes que des spécialistes avaient lancé l'alerte fin septembre. Dans une lettre adressée à Marisol Touraine, ministre de la Santé, le syndicat des jeunes biologistes médicaux (SJBM) avaient mis en garde contre les dangers de la prescription de trois nouveaux anticoagulants oraux (Naco), dont le Pradaxa. Sont également concernés : l'Eliquis, fabriqué par le laboratoire Bristol-Myers Squibb et Pfizer, et le Xarelot, du laboratoire Bayer Santé.

XARELTO: un nouvel anticoagulant Bayer contesté : 58 décès en Allemagne
Bayer contesté  Les inquiétudes concernant la sécurité de l’anticoagulant Xarelto n’ont pas été dissipées. Les premières utilisations ont provoqué plusieurs décès. En outre, on a eu recours à des pratiques douteuses pour lancer le produit sur le marché. Il existe des craintes justifiées qu’un produit hautement risqué et trop cher, sans nouveaux bénéfices thérapeutiques, soit introduit sur le marché de force.
Il existe des doutes considérables relatifs à la sécurité du nouvel anticoagulant Xarelto que Bayer essaie à toute force de mettre sur le marché. Des données de l’Institut fédéral allemand pour les médicaments et les engins médicaux (BfArM), que la Coordination contre les méfaits de BAYER a obtenues sur sa demande, révèlent, que l’an dernier, rien qu’en Allemagne, on a dénombré 58 décès consécutifs à l’usage de ce médicament et 750 cas d’effets secondaires sérieux.
Aux USA, l’autorisation de ce produit destiné au traitement des thromboses coronaires est retardé. Vu le risque élevé d’hémorragie, la FDA a demandé récemment à Bayer de fournir de nouvelles données sur les risques du Xarelto. En février 2012, la FDA avait déjà critiqué Bayer parce que trois décès n’avaient pas été signalés dans les dossiers.
Précédemment Bayer avait déjà rencontré des problèmes dans les processus d’autorisation aux USA pour les indications « prévention de thrombose dans le genoux et la chirurgie de la hanche » et « prévention d’attaques d’apoplexie et d’embolies pour les patients atteints de fibrillation atrial». Le FDA affirmait, entre autres, que Bayer ne fournissait pas correctement les dosages pour des participants d’étude dans le groupe de contrôle traité au Warfarin (voisin du Marcumar).
Les experts conseillent de ne pas utiliser Xarelto et plaident en faveur de la poursuite de l’emploi de médicaments reconnus (Marcumar ou Warfarin). Outre des considérations de prix – ils sont 15 fois meilleur marché que Xarelto – l’argument principal en faveur de Marcumar ou Warfarin est qu’il existe un antidote en cas d’hémorragies graves. Ce qui n’est pas le cas pour Xarelto.
Le processus d’approbation de Xarelto a été difficile dès le départ à cause de ses nombreux effets secondaires et de l'absence de précision quant aux effets à long terme. En Inde, au moins quatre personnes participant à des tests du Xarelto sont décédées. Dans chaque cas, Bayer a payé aux ayant-droits survivants la modeste somme de $ 5.250 en compensation. C’est pourquoi, aux USA, le Xarelto sera mis sur le marché avec un avertissement: les patients ne doivent pas interrompre le médicament sans consulter un médecin, car sinon il existe un risque accru d’attaques d’apoplexie.
 
Arixtra (fondaparinux sodique) et Xarelto (rivaroxaban), prévention des thrombo-embolies veineuse

xarelto / rivaroxaban
Découvrez pourquoi nous avons désigné ce médicament comme ne pas utiliser pendant sept ans (au moins jusqu’en juillet 2018).

THE XARELTO DISASTER : LE DESASTRE DU XARELTO (traduction)
Les chercheurs ont rapidement découvert l'un des effets indésirables les plus graves de Xarelto: Le saignement interne . Bien que ce soit un effet secondaire commun des médicaments anticoagulants, Xarelto pose une menace plus sérieuse, car il n'existe actuellement aucun antidote qui puisse Inverser ses effets d'amincissement du sang. Dans une situation d'urgence, les patients risquent de Des complications hémorragiques irréversibles qui peuvent mettre la vie en danger
...La charge la plus courante contre les fabricants de Xarelto est qu'ils a minimisé ou complètement omis les risques sérieux impliqués dans la prise du médicament
...Selon un document compilé par l'Institute for Safe Medication Practices, 356 «blessures graves, invalidantes ou mortelles» à la suite de Rivaroxaban ont été La FDA dans le premier trimestre de 2012 seulement. Dans un trait ironique, ce même document explique que l'un des effets secondaires les plus fréquents de Xarelto était l'embolie pulmonaire


L'antidote du xarelto rejeté par la FDA
Alors que cette nouvelle génération de médicaments anticoagulants a été développé pour surpasser l'efficacité de la «norme d'or» diluant du sang Warfarin, il a plutôt conduit à des milliers de cas de problèmes de santé et plus de 1000 morts. Bien que fréquemment étiqueté comme un «diluant du sang», ce médicament inhibe réellement la coagulation sanguine. Sans un agent d'inversion approprié, les patients traités par Xarelto peuvent subir des saignements incontrôlés et potentiellement mortels.
....Bien que reconnu comme étant potentiellement mortelle, le médicament continue de croître en popularité, faisant plus d'un milliard de dollars de recettes pour Bayer et Johnson & Johnson, comme l'indique le Wall Street Journal. Malheureusement, des milliers de patients restent à risque et sont obligés de supporter le fardeau de ce désastre pharmaceutique.

xarelto : Les fabricants de médicaments cardiaques ont-ils retenu les données d'une importante revue médicale?
 
Ici, en plus de rappeler les liaisons dangereuses entre certains médecins et l’industrie pharmaceutique, le médecin pointe du doigt les nouveaux anticoagulants oraux (les NACO, dont Pradaxa®, Xarelto® et Eliquis®) et les antiagrégants plaquettaires (AAP).
...les résultats des essais cliniques menés sur les NACO ne sont pas fiables, car menés "sur des malades idéaux, sélectionnés, et non représentatifs de la population générale." Sauf qu’en réalité, cette méthode est la base de tous les essais cliniques donnant lieu à une autorisation de mise sur le marché, pour éviter les biais

"Pas plus d'accident avec les nacos (xarelto, pradaxa...), qu'avec les anti-vitamines k, soit 4000 morts et 17000 hospitalisations, par an, en France"

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12 août 2015 3 12 /08 /août /2015 22:49

Comme pour toutes les drogues, les bêta-bloquants et antihypertenseurs provoquent de la dépendance chez une majorité de victimes, donc : Ne jamais interrompre brutalement un traitement bêta bloquant ou antihypertenseur !(l'arrêt brutal de votre médicament peut augmenter votre risque de crise cardiaque et d'autres problèmes cardio-vasculaires !). mais en faire un sevrage trés lent.

étude : utilisation des bêta-bloquants
les bêta-bloquants, lorsqu'ils sont utilisés sur une base régulière, peut entraîner une dépendance physique.

syndrome de sevrage aux bêta-bloquants
Si on utilise un bêtabloquant pendant un certain temps, son corps peut devenir dépendant de la drogue. Les symptômes de sevrage des bêta-bloquants découlent de la dépendance à l'égard de l'organisme sur le médicament.
La meilleure façon de prévenir les symptômes de sevrage aux bêta bloquants est de réduire la dose graduellement.

Les symptômes et les effets suivants du retrait des bêta-bloquants sont souvent ressentis par les patients:
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l'un des symptômes les plus courants du retrait des bêta-bloquants.
Lorsque le bloqueur bêta est arrêté brusquement, les problèmes de fonctionnement cardiaque, pour lesquels le médicament a été prescrit, peuvent se reproduire. Ceci est un effet commun du retrait du bloqueur bêta. Cela peut encore provoquer une hypertension artérielle, une angine ou une douleur thoracique et augmenter le risque d'insuffisance cardiaque et de crise cardiaque
Comme effet du retrait du bloqueur bêta, le flux sanguin vers le cœur augmente et peut provoquer une transpiration accrue.
De même, l' essoufflement fréquent, même sans mettre autant d'effort physique, est également un autre symptôme fréquemment rencontré du retrait des bêta-bloquants.
Les maux de tête fréquents et la migraine sont l'un des effets courants du retrait des bêta-bloquants.
Les crampes et les douleurs dans différentes parties du corps, même si elles sont actives, sont également un effet très fréquent du retrait des bêta-bloquants.
Un autre symptôme généralement expérimenté du retrait des bêta-bloquants se révèle fragile et même évanoui.
Le rythme cardiaque irrégulier, connu sous le nom d'arythmie, peut également résulter du retrait du bloqueur bêta.
D'autres symptômes communs du retrait des bêta-bloquants incluent le gain de poids, les pieds froids et la fatigue.
Certains des symptômes moins fréquents du retrait des bêta-bloquants, qui sont plus importants chez les patients atteints d'un système immunitaire plus faible comprennent :
Dépression et stress
L'insomnie et les problèmes de sommeil
Outre les signes ci-dessus, les effets du retrait du bloqueur bêta peuvent également être liés à l' hyperthyroïdie . L'hyperthyroïdie présente des symptômes tels que des tremblements , une anxiété accrue et une fréquence cardiaque. Comme ces symptômes sont semblables aux symptômes du retrait du bêta-bloquant, il peut être difficile de différencier les deux. Cela peut rendre difficile le diagnostic de l'état et il existe des risques de retard dans le traitement, ce qui peut affecter gravement la santé.
Les effets du retrait des bêta-bloquants sont également ressentis sur les triglycérides et le taux de cholestérol. Le retrait soudain du bloqueur bêta peut réduire le bon cholestérol et augmenter le mauvais cholestérol, ce qui peut affecter la santé dans une grande mesure.
L'utilisation de bêta-bloquants sur une période prolongée réduit la fréquence cardiaque et elle semble fonctionner normalement. En cas de retrait soudain du bêta-bloquant, l'adrénaline dans votre corps peut devenir plus sensible, ce qui peut augmenter soudainement la fréquence cardiaque. Cela met l'excès de tension sur le cœur, ce qui peut augmenter le risque de crise cardiaque.
Le blocage de l'artère coronaire est assez fréquent et peut souvent provoquer une angine ou une douleur thoracique. Comme effet du retrait des bêta-bloquants, il existe de plus grandes chances de douleurs thoraciques et aussi de crises cardiaques ou d'infarctus du myocarde.
Les bêta-bloquants sont utilisés pour traiter l'hypertension ou l'hypertension. Si les bêta-bloquants sont soudainement arrêtés, la pression artérielle peut recommencer à augmenter. En outre, les effets du retrait du bloqueur bêta peuvent provoquer une anxiété et un stress accrus, qui peuvent présenter des symptômes comme la palpitations et la transpiration excessive.
L'arrêt soudain des bêta-bloquants peut causer de nombreux symptômes indésirables et nécessite souvent une surveillance. Les symptômes et les effets du retrait des bêta-bloquants sont surtout perceptibles, mais parfois peuvent être confondus avec les symptômes d'autres troubles. Par conséquent, il est nécessaire que les bêta-bloquants, si nécessaire pour arrêter, doivent être effectués de manière appropriée et uniquement avec des conseils médicaux. Les médecins conseillent habituellement une diminution de dose, ce qui aide à réduire progressivement la dose et surveille également les paramètres de santé spécifiques. Cela permet au corps de s'adapter lentement à des doses réduites, réduisant ainsi le risque de symptômes indésirables et les effets du retrait des bêta-bloquants.
 

L'un des premiers signes éprouve des palpitations cardiaques, accompagnées d'essoufflement, sueurs abondantes et une respiration sifflante. Violents maux de tête, douleurs corporelles, vomissements nausées induites et des crampes abdominales intenses peuvent aussi être remarqués chez les individus qui se retirent de ce médicament à la fois.
Tremblements corporelles peuvent également être observés chez ces personnes. Tremblements dans les mains peuvent être assez visibles et la personne est incapable d'organiser quoi que ce soit régulièrement.
Brusque qui découlent de la drogue peut augmenter la sensibilité à l'égard d'adrénaline. Cela peut accroître les risques d'hypertension artérielle, qui à son tour donne naissance à rythme cardiaque irrégulier.
Une fréquence cardiaque élevée peut exercer une pression sur le muscle cardiaque et augmenter la pression sur l'artère coronaire. S'il y a un blocage dans l'artère, puis elle peut aussi conduire à du surmenage des muscles du coeur. Tous ces facteurs peuvent augmenter le risque d'une crise cardiaque ou infarctus du myocarde, qui est un résultat des muscles cardiaques endommagés.
Les patients hypertendus qui se retirent de cette drogue de prescription soudain peuvent éprouver malaise, une augmentation soudaine et forte pression artérielle, tachycardie sinusale, qui est un rythme cardiaque rapide et irrégulier, originaires du nœud du cœur et des palpitations, etc..
Il y a des chances d'un patient, développement de l'hyperthyroïdie, due à la sécrétion des hormones thyroïdiennes, qui peut entraîner une crise thyréotoxique. Cette condition peut devenir mortellement exacerbée, si le diagnostic n'est pas rapide et médicaments pour normaliser l'État ne sont pas administrés.
Patients souffrant de maladies cardiovasculaires peuvent remarquer leur condition aggravation si elles prennent des bêta-bloquants de manière aveugle. Les symptômes de l'angine de poitrine peuvent devenir intenses et se retrouvent dans l'accident vasculaire cérébral, qui peut s'avérer fatale.

Quels sont les symptômes et les effets du sevrage des bêta-bloquant ? :
Les tremblements fréquents qui peuvent être graves sont l'un des symptômes les plus courants du sevrage des bêta-bloquants.

Si un médicament provoque des effets de sevrage déplaisants, certains usagers en deviendront inévitablement physiquement dépendants. En effet, cette conclusion est inhérente à la définition de dépendance physique. Selon le World Task Force, un groupe de travail qui s'est penché sur les sédatifs hypnotiques, «la dépendance physique se définit comme l'apparition de symptômes spécifiques lorsque la médication est brusquement interrompue». Le service de glossaire pharmacologique en ligne de l'Université de Boston affirme que la dépendance «se caractérise par la nécessité de maintenir la prise de médicament afin d'éviter l'apparition de symptômes de sevrage incommodants ou dangereux»."
 
Ces produits sont aussi décrits comme « anticholinergiques » à cause de leur action chimique de suppression de l’activité cholinergique du cerveau. L’hypersensibilité cholinergique provoque une large partie des effets de sevrage des médications antiparkinsoniennes qui ressemblent aux tricycliques et aux neuroleptiques et peuvent être également complexes et variées. Plusieurs études ont démontré des symptômes semblables à la grippe, comme la nausée, les vomissements, les frissons, la faiblesse et les maux de tête de même que l’insomnie et la nervosité qui se produisent lors de la période de sevrage.
 
 
"En d'autres termes, aucune caractéristique chimique ne peut distinguer entre un psychotrope appelé " drogue " et un autre appelé " médicament "   professeur david Cohen professeur Guilhème Pérodeau
 
les méthodes de sevrage sont les mêmes pour toutes les drogues médicales
 
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits.Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre d’utilisateurs de toxicomanes, à long terme
 
« Le but du système public de santé mentale est de créer une classe énorme de malades mentaux chroniques en les forçant à prendre des médicaments inefficaces, mais extrêmement dangereux . »
 
"ce que les usagers ne savent pas c'est que l'abus de médicaments sur ordonnance peut être plus dangereux que l’abus de drogues fabriquées illicitement." M. Emafo Président de l’OICS (ORGANE INTERNATIONAL DE CONTRÔLE DES STUPÉFIANTS).
 
Les drogues médicales et autres
 
Sevrage antihypertenseurs Clonidine : les médicamets psychiatriques ne sont pas les seuls médicaments a provoquer un PAWS (syndrome prolongé de sevrage)
Le sevrage brutal ou la diminution trop rapide d'un grand nombre, mais pas tous, des médicaments antihypertenseurs peuvent généralement entraîner des symptômes de l'hyperactivité et de régulation à la hausse aiguë des récepteurs adrénergiques bêta du système nerveux sympathique similaires à celles des médicaments psychotropes puissants, provoquant l'hypertension de rebond pire que l'hypertension il est le traitement, les attaques de panique, l'anxiété, la dépression et d'idées suicidaires. Il est important de noter que certains d'entre nous ont trouvé la voie difficile que nous sommes plus sensibles à nerveux sympathique sur-stimulation après le sevrage brusque ou la diminution rapide du traitement des médicaments antihypertenseurs que d'autres et, semblables à l'ignorance dans effilée médicaments psy, la plupart des médecins sont largement inconscients et inexpérimenté dans jaugeage des symptômes clairs de syndrome de sevrage aigu prolongée (PAWS) des médicaments de la pression artérielle, écrit le patient hors comme un hypocondriaque ou avec un trouble anxieux.

Les syndromes prolongés de sevrage aux médicaments
peuvent durer 10 ans chez certaines victimes
Dépendance et sevrage
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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 19:05

"Si vous espérez améliorer votre espérance de vie en prenant un médicament contre le cholestérol, un autre contre l’hypertension, un autre contre le diabète, en débouchant vos artères avec des stents, vous vous trompez et vous allez découvrir pourquoi."

accident vasculaire cérébral et accident cardio-vasculaire sur ordonnances
Une liste des très nombreux médiaments pouvant provoquer des AVC ou des accidents cardio-vasculaires

anti-cholesterol
escroqueries et dangers

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 02:07
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 02:05
Dans son livre le plus récent, Est-ce que votre cardiologue vous tue? Le Dr Rogers vous apprend comment contrer les maladies cardiaques sans recourir à la drogue, dont les effets secondaires sont presque toujours pires pour votre santé que la maladie. Écrit comme un mystère de qui-fait-il, ce livre prend une approche légère à un sujet lourd, ce qui le rend facile à digérer la recherche actuelle qui appelle une nouvelle approche radicale pour traiter une maladie grave. Lis ce livre. Et décidez si vous devez congédier votre cardiologue.

Est-ce que votre cardiologue vous tue? Une entrevue époustouflante avec le Dr Jack Wolfson révèle des secrets sombres et dangereux de la cardiologie

faceboock

Regardez cette incroyable interview et vous apprendrez pourquoi votre cardiologue peut vous donner des informations vraiment mauvaises qui pourraient compromettre votre santé et même contribuer à votre mort. C'est une interview incontournable pour tous ceux qui veulent protéger leur santé cardiaque et améliorer leur longévité.

Vous pouvez afficher les sous-titres en français. Appuyez sur lecture, cliquez sur afficher les sous titres. Une fois les sous titres affichés (en anglais), il faut aller dans l'autre commande (a coté de sous titre), Puis, cliquer sur sous titre, Puis sur traduire automatiquement, puis en français.

Si vous ou l'un des membres de votre famille souffrez de diabète, d'hypertension artérielle, d'hypercholestérolémie, d'obésité ou d'une maladie cardiaque
Imaginez un matin que vous vous réveillez pour savoir que vous n'êtes plus sur ces médicaments et que vous êtes en aussi bonne santé que vous l'étiez il y a quelques années
Vous ne pouvez pas mourir de la maladie mais du traitement.
La chirurgie de pontage et l'angioplastie ne sont pas pour les patients mais pour le profit.
Jusqu'à présent, vous avez visité les médecins, car ils sont considérés comme des épargnants de vie. Vous leur faites confiance de façon si aveuglante qu'il ne vous vient jamais à l'esprit que vous êtes juste une source d'argent pour eux. Ils vous terrorisent au sujet de votre état de santé tellement que ne pas entreprendre le traitement référé par eux signifie la fin de vie pour vous.
Les cardiologues de nos jours sont impliqués dans des malversations massives non seulement en Inde mais dans le monde entier
Est-ce que votre cardiologue vous tue ?

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"Un médecin honnête ne peut plus praitiquer honnêtement la médecine, nous avons un système de santé complétement défaillant, une épidémie de médecins désinformés et de patients blessés engendrés par des recherches biaisées, des publications scientifiques biaisées, financées uniquement pour la recherche du profit "

"pour les gens qui ont une maladie cardiaque stable, la pose de stens, pour prévenir les attagques cardiaques, nous avons la preuve, depuis de nombreuses annnées que cela est inefficace, mais cela est pourtant fait, chez 50% des patients...et pourtant il y a un risque d'avc mortel pour 1% des cas"

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 01:22

Les vendeurs de maladies

Le premier article est sur le syndrome pré-hypertensif, crée de toute pièce pour élargir le marché du médicament antihypertenseur et qui peut être combattu par une baisse de la consommation du sel contenu dans les aliments fabriqués par l’industrie agroalimentaire.

Le marché de l’hypertension artérielle
Aujourd’hui, nous sommes confrontés à une monté en puissance de l’industrie pharmaceutique qui prétendre dicter et définir le pathologique et le normal en se substituant au pouvoir médical et à la science, avec un objectif plutôt commercial que de santé publique et scientifique. La médicalisation à outrance produit des situations ubuesques caractérisées par de solutions médicamenteuses avec des coûts énormes, au lieu d’opter par des solutions préventives, largement moins coûteuse. Un exemple criant est le syndrome pre-hypertensif, dont la stratégie actuelle de l’industrie pharmaceutique est de faire tout dans son pouvoir pour arriver à convaincre le corps médical du bien fondé du traitement médicamenteux de ce syndrome. La prévalence de la pré-hypertension artérielle (définit par des les valeurs de pression artérielle systolique comprise entre 120 et 139 mmHg et/ou pression artérielle
 
diastolique comprise entre 80 et 89mmHg) dans la population est énorme (50 à 60%) et si un comité d’expert décide de traité ce syndrome sur certains conditions, le nombre de sujet à traités sera multiplié par 3 ou 4. Actuellement, le coûts du traitement médicamenteux de l’hypertension artérielle (pression artérielle systolique égale ou supérieur à 140 mm Hg et/ou une pression artérielle diastolique égale ou supérieur à 90 mm Hg, mesurées au cabinet médical par un sphygmomanomètre de préférence à mercure et confirmées au minimum par deux mesures par consultation, au cours de trois consultations successives) est de plus de  4 milliards d’euros par an. Cette dépense risque d’augmenter considérablement avec un surcoût de 8 à 12 milliards d’euros. Quel système d’assurance maladie fondée sur la solidarité pourra faire face à ces dépenses ? Face à l’option tout médicament, il y a une outre option relégué aux oubliettes : la prévention par une diminution de la consommation de sel.
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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:23
risque de syndrôme de Stevens Johnson (SJS.)
Avoxats, class action, condamnations
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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:22
Dans ce récent ouvrage révolutionnaire, Peter C. Gotzsche lève le voile sur les comportements frauduleux de l’industrie pharmaceutique dans les domaines de la recherche et de la commercialisation et sur son mépris moralement répugnant pour la vie humaine. L’auteur établit des rapprochements convaincants entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie du tabac et révèle l’extraordinaire vérité derrière les efforts déployés pour semer la confusion et détourner l’attention du public et des politiciens. Il s’appuie sur des données probantes et traite de manière détaillée de l’extraordinaire défaillance du système causée par le crime généralisé, la corruption et l’inefficacité de la réglementation pharmaceutique – une réglementation qui, selon lui, doit être radicalement transformée. « Si nous prenons autant de médicaments, c’est principalement parce que les compagnies pharmaceutiques ne vendent pas des médicaments, mais des mensonges à leur sujet. C’est ce qui fait que les médicaments sont si différents du reste… Tout ce que nous savons sur leur compte, c’est ce que les compagnies ont choisi de nous dire et de dire à nos médecins… Les patients ont confiance dans leurs médicaments parce qu’ils extrapolent la confiance qu’ils ont envers leurs médecins et la reportent sur les remèdes que ces derniers leur prescrivent. Ils ne sont pas conscients que les médecins, s’ils en savent long sur les maladies et la physiologie et la psychologie humaines, en connaissent très, très peu sur les médicaments si ce n’est les informations fabriquées de toutes pièces par l’industrie pharmaceutique… Si vous ne croyez pas que le système est hors de contrôle, je vous invite à m’écrire pour m’expliquer pourquoi les médicaments sont la troisième cause de mortalité… Si une épidémie provoquée par une nouvelle bactérie ou un nouveau virus avait fait autant de victimes – ou si elle avait même causé un centième seulement des décès associés aux effets secondaires des médicaments –, nous aurions tout fait pour la contenir.
 
"Or les médicaments sont aussi des substances dangereuses, à manier avec précaution. Il y a bien sûr les scandales récents qui ont secoué la France. L’affaire du Mediator n’est nullement une exception, elle est plutôt la règle : on assiste depuis une vingtaine d’années à une avalanche de scandales pharmaceutiques à travers le monde, pour la plupart bien plus graves que celui du Mediator et impliquant quasiment tous les grands laboratoires mondiaux. Étrangement, ces affaires retentissantes n’ont pratiquement pas eu d’écho en France. Sans doute a-t-on considéré qu’il s’agissait de problèmes qui ne nous concernaient pas, un peu comme le fameux nuage de Tchernobyl. Pourtant, les entreprises impliquées sont des multinationales implantées sur notre territoire comme sur le reste de la planète et leurs médicaments étaient (ou sont encore) commercialisés également en France. À l’ère de la mondialisation, les molécules circulent aussi librement que le pétrole ou les courriels."...
On ne peut plus dire qu’il s’agit de cas isolés de corruption , de quelques « méchants » qu’il suffirait de mettre en prison. Les experts, les scientifiques, les médecins, les politiciens, tous ces gens font simplement leur travail – ils sont même, dans leur grande majorité, bienveillants et de bonne foi. Ce que révèlent les scandales, par leur répétition même, c’est justement cela : la banalité du mal pharmaceutique, son caractère systémique, industriel.
Il y a quelque chose de pourri au royaume de Médecine , comme il est dit dans Hamlet. Nous le sentons tous obscurément, mais nous hésitons à nous l’avouer. Nous voulons continuer à croire que la médecine est « basée sur des preuves », comme on nous le répète tout le temps, que nos médecins sont vigilants et bien informés, que les agences sanitaires ne permettront plus qu’on nous vende des médicaments inutiles et dangereux. Nous voulons continuer à croire en la médecine, car elle a été porteuse depuis la révolution thérapeutique de la fin du XIXe de tous nos espoirs en une vie longue et sans douleur. Mais cette médecine que nous avons connue n’existe plus.
Comme on va le lire dans ce livre, les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires . Les médecins reçoivent leur formation et leurs informations de l’industrie pharmaceutique. Les agences sanitaires approuvent de façon désinvolte des médicaments totalement inefficaces, tout en protégeant le « secret commercial » des données négatives fournies par les firmes. À tous les niveaux, le profit des industries passe AVANT l’intérêt des patients.
 
Effets secondaires - LA MORT, Sans corruption pas de médicaments (prozac)
le livre ecrit par John Virapen devoile la corruption pour mise sur marché de médicaments qui vous tuent
« Ils (l’ industrie pharmaceutique) vous vendent des médicaments dangereux pour gagner de l’argent. Rien d’autre. Si vous pensez que l’ industrie harmaceutique met des médicaments sur le marché pour vous aider – vous vous trompez lourdement! »

Drug-Induced démentia : a perfect crime (les médicaments qui induisent la démence : un crime parfait) Repenser les drogues psychiatriques: Un guide pour le consentement éclairé, a souligné le besoin urgent pour les sociétés et les systèmes de soins de santé à reconnaître la nocivité inutile de médicaments psychiatriques, et pour protéger les droits de ceux qui veulent des oins sans drogue .  En misant sur ce même thème, d’origine médicamenteuse démence: un crime parfait présente une analyse méthodique des données scientifiques et épidémiologiques qui confirme les  médicaments psychotropes comme une cause de lésions cérébrales et de décès prématurés. Espérons que ces publications seront utilisées par les profanes, les cliniciens, les avocats et les décideurs politiques à améliorer la qualité et l’intégrité des soins de santé, et de sauvegarder le droit fondamental de tous les patients pour éviter des lésions corporelles injustifiée – en particulier, lorsque ce dommage survient dans le forme de désinformation, frauduleux, et / ou coercitives (involontaire) de soins médicaux.

pharmageddon (anglais) : l'hisoire d'une tragedien par le prof david Healy
les antidépresseurs - maintenant les médicaments les plus couramment prescrits pendant la grossesse - alors même que les preuves s'accumulent que ces médicaments provoquent des défauts de naissance, le double du taux de fausses couches, et causer un handicap mental chez les enfants nés de mères qui ont été les prendre.
L'espérance de vie aux Etats-Unis, le pays qui consomme le plus de la dernière des médicaments vitaux est en baisse rapide par rapport au reste du monde. Pour les maladies comme la schizophrénie, nous faisons maintenant 10 fois pire en termes d'espérance de vie que nous l'étions il ya 100 ans.

Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
 
En réalité, les statines n’empêchent ni les infarctus ni les AVC.
Tous les médicaments anticholestérol, les anciens comme les nouveaux, sont toxiques du fait de leur mode d’action et aussi parce qu’ils privent le corps d’un facteur protecteur : le cholestérol !
 
Anatomie d’une épidémie enquête sur un mystère médical: Pourquoi le nombre d’adultes et d’enfants handicapés par la maladie mentale explosé au cours des cinquante dernières années? Il ya maintenant plus de quatre millions de personnes aux Etats-Unis qui reçoivent un chèque du gouvernement d’invalidité en raison d’une maladie mentale, et le nombre continue à monter en flèche. Chaque jour, 850 adultes et 250 enfants atteints d’une maladie mentale sont ajoutés aux rouleaux d’invalidité du gouvernement. Qu’est-ce qui se passe?
  Alzheimer, parkinson, sclérose en plaques, autisme… Pourquoi le nombre de personnes atteintes d’une maladie neurodégénérative explose-t-il, et pour quelles raisons les malades sont-ils de plus en plus jeunes ? Ce livre révèle que ces maladies se préparent déjà dans le ventre des mères, devenues malgré elles des « mamans neurotoxiques ». Ensuite, tout au long de la vie, nos neurones sont exposés à un cocktail d’agressions capable de diminuer irréversiblement les fonctions de notre cerveau. Ces substances parfaitement identifiées et documentées par les scientifiques, pourraient être bannies de notre environnement si une véritable politique de prévention était menée.
Au moment où ce type de maladie a été déclaré “cause nationale” en France, l’enquête événement  de Marie Grosman et Roger Lenglet accuse : malgré les connaissances scientifiques la prévention est gravement négligée.
Etudes et investigations rigoureuses à l’appui, les auteurs démontent le mécanisme d’un “effet d’aubaine” ignoble en faveur de l’industrie pharmaceutique et proposent des solutions face à cette crise sanitaire.

Médicaments Meurtriers et Crime Organisé : comment Big Pharma a corrompu la Santé
Corruption systématique: L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia.
Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée.
Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie.
Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ....Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia...

bad pharma
Les médicaments sont testés par les gens qui les fabriquent, dans des essai cliniques mal conçus menés sur un petit nombre de patients non-représentatifs, et analysés en utilisant des techniques qui sont biaisées, de manière à exagérer les bienfaits des traitements. C’est sans surprise que ces études produisent des résultats qui favorisent le produit testé. Quand les essais cliniques ne donnent pas les résultats escomptés, les données sont cachées des médecins et des patients ce qui laisse une image distordue de la réalité. Ces faits distordus sont communiqués de manière biaisée par des régulateurs et des éditeurs de journaux scientifiques qui sont en conflit d’intérêts, tout comme les associations de patients et les universités. Le résultat est que dans la plupart des cas, nous n’avons aucune idée du traitement qui est le plus efficace.
 
Les antidépresseurs de la famille du Prozac peuvent-ils provoquer les mêmes effets secondaires que le Mediator sur le coeur et les poumons? […] Un pharmacologue de l’Inserm nous avoue ne pas avoir de données de pharmacovigilance pouvant indiquer des effets secondaires similaires, mais il nous confie que les deux médicaments ont les mêmes mécanismes. Il était donc, selon lui, absurde de prescrire du Mediator à quelqu’un qui prenait du Prozac car les doses ne pouvaient que se cumuler. Le site de la pharmacovigilance européenne révèle que des nouveau-nés dont les mères ont pris du Prozac développent la même maladie que les patients ayant absorbé du Mediator ou de l’Isoméride: l’hypertension artérielle pulmonaire. L’Agence européenne du médicament se contente toutefois de conseiller aux mères de signaler à leur sage-femme qu’elles prennent un ISRS [inhibiteurs sélectifs de la recapture de sérotonine: classe d’antidépresseurs de type Prozac]. L’Agence estime que le Prozac multiplie par deux le risque de malformation cardiaque chez le nouveau-né. Au lieu de déconseiller formellement la molécule aux femmes enceintes, elle leur suggère simplement d’en parler à leur médecin qui décidera de la suite du traitement. L’Agence ajoute: « Le mécanisme est inconnu. »
 
« La personne qui a le plus de probabilité de vous tuer n’est pas un parent ou un ami ou un agresseur ou un cambrioleur ou un conducteur ivre. La personne qui risque le plus probablement de vous tuer est votre docteur. »
 
La médecine moderne est gérée par une oligarchie puissante issue des grands groupes chimico-pharmaceutiques qui parviennent à conditionner les choix des gouvernements, des politiques et des institutions de la santé grâce à de prodigieux moyens financiers
 
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal » Martin Luther King Jr
 
la médecine est le premier vrai danger pour la santé.
 
L’envers de la pilule J.-Claude St-Onge°°°°
on apprend que tout médicament comporte des risques, qu’une étude effectuée au Québec a révélé que 52 % des prescriptions par ordonnance sont risquées ou
 
Des millions de personnes normales ont ainsi été amenées à croire qu’elles souffrent de pathologies inexistantes et exagérées, telles « la préhypertension », « le désordre d’anxiété généralisée », « le syndrome prémenstruel dysphorique »…
 
Si vous êtes malade un jour, tout le monde s’intéressera à votre maladie, mais votre santé n’intéresse que vous. Ce livre fait le bilan de notre système de santé actuel, où le médecin ne connaît plus le malade car il est devenu un simple vendeur de médicaments. Il dénonce le lavage de cerveaux organisé par les instances de santé et les médias sous la pression des laboratoires, le dépistage systématique qui ne rapporte, la plupart du temps, qu’à ceux qui «dépistent» et l’abus de médicaments qui suppriment les symptômes et non les maladies. Il aborde la notion de «terrain» et propose de réconcilier la médecine avec le vécu sensible des personnes, de refuser de céder à la peur qui contribue à la défaillance de notre système immunitaire et de savoir qu’il existe des méthodes naturelles qui ont fait leurs preuves depuis des lustres, mais qui restent interdites car elles menacent la santé financière des laboratoires et la pérennité de leur dictature.
 
De nos jours, le principal problème lié aux drogues, aux États-Unis par exemple, ce n’est pas la consommation de drogues illégales, mais celle de drogues parfaitement légales, les médicaments. Plus de deux millions de personnes sont hospitalisées chaque année uniquement en raison d’effets indésirables des médicaments et que 180 000 en meurent. Quand une agence de réglementation des aliments et des médicaments autorise la vente d’un médicament grand public, plus de la moitié des effets graves qu’il entraîne restent inconnus.
 
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
 
comment les sociétés pharmaceutiques font des milliards de dollars par persuader les gens qu’ils ont besoin de leurs traitements. Est-ce l’abus réel de la drogue?
 
Guide critique des médicaments de l’âme
de professeur David Cohen
ANTIDEPRESSEUR ; LITHIUM ; MALADE ; MEDICAMENT ; MENTAL ; NEUROLEPTIQUE ; PSYCHOPHARMACOLOGIE ; PSYCHOTROPE ; SEVRAGE ; SOMNIFERE ; STIMULANT ; TRANQUILLISANT ; USAGE
 
L’auteur prend le risque de dénoncer les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique qui nous cache les effets indésirables de nombreux médicaments. En France, des effets secondaires tels qu’hépatite, infarctus, cancer, méningite, impuissance, avortement sont volontairement occultés ! …
 
Amérique dupé : La vérité sur les antidépresseurs, antipsychotiques et comment nous avons été trompés
L’Amérique dupé l’histoire non-sensationnelle, fait-remplie de la façon dont les Américains sont venus à croire que la dépression et d’autres problèmes mentaux sont causés par des déséquilibres chimiques qui peuvent être fixés avec des pilules. Il révèle comment les études sur les médicaments utilisés pour obtenir l’approbation de la FDA sont conçus, payés et écrits par les compagnies pharmaceutiques elles-mêmes et sont délibérément trompeur. Partie 1 de l’Amérique Dupé est axée sur les antidépresseurs, leur efficacité et leurs effets secondaires, y compris les dommages permanents au cerveau qui résulte de l’utilisation à long terme dont si peu d’Américains ont aucune connaissance (y compris ceux qui prescrivent et ceux qui prennent des antidépresseurs). La partie 2 traite des différentes approches utilisées à travers l’histoire pour traiter les problèmes mentaux plus graves, y compris l’utilisation des antipsychotiques. Les effets secondaires des antipsychotiques sont également discutés. Partie 3 concerne la façon d’éviter et surmonter les problèmes de santé mentale qui ont augmenté de façon spectaculaire dans notre pays et le faire sans médicaments. Plus de 1800 références au meilleur de la recherche médicale et psychologique sont donnés si chaque page est écrit pour être compris par l’Américain moyen
 
Il expose comment, avec l’aide des agences de presse et par la vénalité des mass médias, le public a subi un lavage de cerveau le poussant à mettre « soins médicaux » et « santé » sur un même pied d’égalité, alors qu’en réalité il s’agit précisément du contraire : la médecine moderne est devenue à présent la source primordiale des maladies. C’est ainsi qu’en un an, 1,5 million d’Américains ont dû être hospitalisés par suite de l’administration de drogues qui auraient dû les « guérir » d’une chose ou d’une autre. L’expérimentation animale, immanquablement trompeuse, est évidemment l’alibi forgé par la Puissance Médicale pour extorquer de fabuleuses subventions pour une fausse recherche et pour protéger les fabricants de médicaments contre les poursuites en justice chaque fois que les suites néfastes de l’un de leurs produits ne peuvent plus être cachées. Le présent livre fournit les preuves de ce qui est avancé et expose au grand jour des faits que nombre d’individus puissants voudraient voir enterrés à tout jamais.
 
C’est l’histoire d’un père sur le tueur de sa fille, la multimilliardaire industrie pharmaceutique. Lisez le prochain paragraphe à haute voix, cela vous donnera le ton de l’ouvrage : « Vanessa s’élance en direction des escaliers avant de retomber brusquement en arrière. Sa tête percute le plancher avec un bruit sourd, comme si une main géante invisible l’y avait poussée. Elle était toute molle, muette, inerte et pâle. Un terrible pressentiment m’a envahi. J’ai placé mon index sur sa carotide. Je ne sentais aucun pouls, aucun battement. Rien. Les secours arrivent : – Prenait-elle des médicaments? – Elle prend du Prepulsid™ (cisapride) pour apaiser ses ballonnements – Autre chose? – Non »[1] Ce père a vécu le pire cauchemar de tout parent : voir sa fille de 16 ans mourir subitement dans le salon de la maison familiale. L’ouvrage relate son enquête menée dans les arcanes de Santé Canada (Agence canadienne du médicament), d’une mondiale du médicament et de l’establishment médical.
  Le 2 décembre 2004, Mégane, la nièce de Gwen Olsen, se suicide à l’âge de vingt ans en s’immolant par le feu, mettant fin au supplice qu’était devenu son existence, soumise aux effets indésirables de médicaments qui lui avaient été prescrits. Ayant passé près de quinze années à travailler pour l’industrie pharmaceutique en tant que visiteuse médicale, c’est en tant qu’initiée à ce que sont, entre autres, les psychotropes, que Gwen Olsen nous livre ici un témoignage aussi alarmiste qu’éclairant sur les conséquences que peuvent avoir ces médicaments. Mais c’est également en tant que victime de ces derniers, qu’elle a appris à ses dépends ce qu’il pouvait en coûter de se faire prescrire des substances agissant sur la chimie du cerveau. Forte de ce double éclairage de l’intérieur et profondément choquée par le sort de sa nièce Mégane, elle n’a de cesse aujourd’hui, à travers son site Internet (www.gwenolsen.com) et des tournées de conférences à travers les États-Unis, de diffuser une information qui permet à un vaste public de mieux connaître les résultats tragiques de prescriptions abusives concernant, par exemple, les antidépresseurs, anxiolytiques et autres hypnotiques. On pourra arguer que tout cela se passe loin de nous, de l’autre côté de l’Atlantique, dans un pays dont le système de santé a été relégué à la dernière place parmi ceux de dix-neuf nations occidentales. Mais ce que la plupart des gens ignorent, c’est que ce qu’on appelle aujourd’hui le DSM-5, le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux, 5e édition (DSM, de l’anglais Diagnostic and Statistical Manual of Mental Disorders) est conçu en Amérique et traduit en français à l’intention de notre pays, tous les médicamts psychiatriques qu’il induit étant pareillement prescrits et disponibles chez nous
 
Après qu’on eut modifié les critères utilisés pour définir l’ostéoporose, sept millions d’Américaines ont été transformées en patientes, du jour au lendemain. La prolifération du monitorage foetal dans les années 1970 a été associée à une augmentation de 66 pourcent du nombre des femmes à qui l’on a dit qu’elles devaient avoir une césarienne, mais cela n’eut aucun effet sur le nombre de nouveau-nés requérant des soins intensifs ni sur la fréquence de la mortalité des nourrissons. L’introduction du dépistage du cancer de la prostate a résulté en ce que plus d’un million d’Américains se soient fait dire qu’ils avaient un cancer de la prostate, alors que les études cherchant à vérifier s’il s’en trouve quelques-uns qu’on aurait aidés se contredisent, il y a consensus que la plus grande partie ont été traités pour une maladie qui ne les aurait jamais affectés. En tant que société fascinée par les progrès techniques et les percées de la connaissance scientifique, nous avons rétréci la définition de ce qui est normal et nous transformons en patients de plus en plus de bien portants. Les diagnostics d’un grand nombre de conditions, dont l’hypertension artérielle, l’ostéoporose, le diabète et même le cancer, ont explosé au cours des dernières décennies tandis que les décès provoqués par ces maladies sont restés constants
Antidépresseurs: mensonges sur ordonnance de Guy Hugnet
Il dénonce la collusion entre laboratoires et experts qui amènent des millions de personnes à prendre ces médicaments aussi efficaces que des placebos mais dont les effets secondaires sont parfois dramatiques.

“Medicines out of Control ?Antidepressants and the Conspiracy of Goodwill”de Charles Medawar Voici la traduction en français de quelques pages exemplaires de cet ouvrage
 
En écrivant L’envers de la pilule, J.-Claude St-Onge a ouvert une véritable boîte de Pandore. Tant de choses ne tournent pas rond dans notre système de santé, l’industrie pharmaceutique et nos rapports à la médecine! L’auteur dévoile dans ce nouvel ouvrage le fruit de ses recherches, une mine d’informations fouillées, claires et souvent choquantes. Par exemple : les raisons pour lesquelles tant d’essais cliniques ne sont pas fiables; la démonstration que le fabricant du Vioxx devait savoir que son médicament était dangereux pour le cœur; la portion exagérée du coût des médicaments qui est due au marketing; de nouvelles preuves que les antidépresseurs poussent certains utilisateurs au suicide et qu’ils n’ont pas l’efficacité qu’on leur prête; la démonstration qu’une autre politique du médicament est possible et peut sauver des vies et des milliards de dollars; la façon dont on invente de nouvelles maladies pour nous abonner aux pilules; comment les agences de contrôle jouent à la roulette russe avec nos vies; la constatation que le virus de la grippe aviaire est connu depuis au moins un demi-siècle et qu’il n’a pourtant jamais provoqué la pandémie si redoutée; et une foule d’autres renseignements qui pourraient vous protéger contre les dérives
 
Hans Ruesch explique pourquoi autant de nouvelles maladies apparaissent de par le monde à l’heure où la recherche médicale prétend s’investir à fond. Pourquoi le public est-il soumis continuellement à de la désinformation sur la santé ? Il révèle le massacre qui est orchestré sous couvert de l’absorption de produits chimiques qui portent le nom de « médicaments » ! Il expose l’opinion de médecins et de chercheurs réellement conscients des problèmes causés par la vivisection, des exemples d’homicides impunis, mais également un point de vue sur le cancer et sur la fraude des mass médias…
 
Qui n’a pas rêvé un jour, au nom de ses convictions, de se lever et de faire face aux autorités ? Ce livre raconte l’aventure d’une femme médecin qui a osé le faire, le docteur Ghislaine Lanctôt ! En plein débat sur les vaccinations et les politiques de santé publique, ce livre, plus que jamais d’actualité, relance le débat sur les pratiques mafieuses de la médecine conventionnelle.
 
Omerta dans les labos pharmaceutiques
Experts corrompus, pression sur le pouvoir politique, marketing débridé : la description que vous faites de l’industrie pharmaceutique est glaçante… Tous les labos ont les mêmes méthodes de lobbying. Comme n’importe quel produit, le médicament n’échappe pas à la promotion. La grande majorité des entreprises la pratiquent dans le strict respect de la loi. Une minorité, toutefois, fraudent et commercialisent des médicaments dangereux, aux effets secondaires graves. Les conséquences sont désastreuses : chaque année, 200.000 personnes meurent d’accidents médicamenteux dans l’Union européenne.
 
Les scandales successifs du Distilbène, du Vioxx ou du Mediator, retirés très tardivemnet du marché, ne sont pas arrivés par hasard. La « chaîne du médicament » – de la recherche pré-clinique aux essais thérapeutiques en passant par l’autorisation de mise sur le marché (AMM), la fixation des prix, le taux de remboursement et la surveillance post-AMM -souffre d’innombrables dysfonctionnements.Désormais les firmes pharmaceutiques contrôlent presque tout, et la pression populaire, instrumentalisée par la propagande publicitaire, a conduit à une accélération du processus de commercialisation. Le médicament est devenu une marchandise qui obéit essentiellement à l’économie de marché.Nicole Delépine dresse ici un tableau sans complaisance de la dérive du système de santé français, orienté par les lobbies pharmaceutiques. Elle tente de sensibiliser les patients aux dangers des médicaments et d’alarmer médias et politiques sur leur passivité.
 
Lorsqu’on demande à des médecins s’ils se soumettraient eux-mêmes aux traitements et opérations qu’ils prescrivent, ils se montrent le plus souvent fort réticents. Nous devrions en faire autant, nous dit Jôrg Blech.En s’appuyant sur des études récentes, l’auteur remet en cause la nécessité réelle d’un grand nombre de prescriptions et d’interventions et prouve l’insuffisance de la recherche en ce qui concerne leurs effets à long terme. La relation entre médecins et patients, fondée sur des présomptions, s’en trouve truquée. Aujourd’hui, le corps médical lui-même commence à dénoncer un système de santé pernicieux.Maux de dos, problèmes gynécologiques ou cardiaques, cancer, arthrose, alzheimer… – autant de maladies dont les traitements habituels sont ici soumis à interrogations.
 
« Certains des pires trafiquants de drogue de la nation ne sont pas dans les coins de rue, ils occupent de très bonnes place au sein d’entreprises »
 
« Dr. Glidden est l’un des très peu à comprendre les vérités qui donne à réfléchir que MD réalisé que la médecine constamment ne parvient pas à guérir la maladie, et qu’il provoque des quantités massives de préjudice dans le processus. En outre, il comprend que les gens partout dans le monde ceux qui continuent à s’accrocher à leurs remèdes maison culturelles vivent plus longtemps et en meilleure santé que ceux qui achètent dans des méthodes médicales modernes ! En Amérique, hispaniques survivant blancs de 2,5 ans et noirs de 8 ans – et cela n’a rien à voir avec la génétique ! Quelques médecins comprennent comment et pourquoi cela se produit. Peu de médecins ont une expérience pratique offrant des traitements non médicamenteux qui réellement aident les gens à recouvrer leur santé. Dr. Glidden fait.
Médecine irresponsable – Ils ont renié Hippocrate !
Le rôle de la médecine est de nous préserver de l’action de la maladie, de la souffrance et de la mort. Dans toutes les traditions, les hommes ont élaboré un art médical à partir des ressources et des concepts qui composaient leur environnement. La médecine ‘classique’ utilise ce qui compose l’environnement du XXIème siècle, les sciences physiques chimiques et biochimiques. Analyses, radiologie, chimiothérapie, vaccinations, etc., sont les outils qui la caractérisent. Parce qu’elle utilise les sciences exactes qui se sont développées en Occident depuis trois siècles, pouvons-nous dire pour autant de notre médecine qu’elle est scientifique ? Hélas, non ! Pastorienne, elle est l’héritière non de principes scientifiques mais de dogmes ; elle voit la maladie comme une ‘chose’ à éradiquer. Elle n’est pas une science. Elle reste un art, aujourd’hui malmené par des mentalités matérialistes qui oublient trop souvent les composantes énergétique et spirituelle fondamentales du malade, mais aussi par la cupidité des tenants d’un système bien organisé, qui lancent pour leur seul profit des alertes à la pandémie et des incitations à se pré-soigner en consommant médicaments et vaccins comme des malades. Rentabilité à tout va ! N’existe-t-il pas une médecine holistique plus réaliste ? Face à une mafia de pseudo-scientifiques et de vrais financiers , y a t-il moyen encore de trouver quelques espoirs ? Marc Avérous est un Ingénieur chimiste à la retraite. Après une carrière dans l’industrie et la diététique, il a étudié tout au long de sa vie professionnelle la philosophie de la médecine et appliqué avec succès les principes d’une vie naturelle
 
Le grand secret de l’industrie pharmaceutique. philippe Pignarre
L’industrie pharmaceutique serait elle dirigée par des hommes assoiffés de profits et d’abord soucieux de “ marchandiser ” cyniquement la souffrance humaine ?
 
Dois-je me faire tester pour le cancer ? : Peut-être pas et voici pourquoi de H-Gilbert Welch
Les conclusions de Welch sont convaincantes, inhabituelles et troublantes : le diagnostic précoce du cancer ne sauve pas toujours la vie, il peut s’avérer très difficile de détecter un cancer à ses débuts et il est des cancers qu’il vaut mieux ignorer
 
Le docteur Éric Ancelet a rédigé, en 1998, un ouvrage passionnant sur les vaccins et la médecine en général, dont nous vous conseillons chaudement l’acquisition. « Pour en finir avec Pasteur » démonte, en 250 pages, plus d’un siècle de dogmes autour des vaccins et de la médecine allopathique, maintenues en place par les dirigeants religieux, scientifiques, étatiques et industriels, grâce à l’ignorance et la peur.
 
 La défonce médicamenteuse. de MAXENCE (Jean-Luc)
Les antidouleurs et antidépresseurs sont aujourd’hui les médicaments les plus consommés en France. Les 150 millions de boîtes de tranquillisants vendues par an et par Français (soit 80 cachets par personne) représentent 20 % du chiffre d’affaires des laboratoires. Or ces  » gélules miracle  » sont des drogues à part entière car elles induisent un état de dépendance, un refus d’assumer la réalité. L’état d’urgence est déclaré. Aux ravages causés par les antidépresseurs, s’ajoutent ceux du cannabis, de l’extasie et du crack. Chercher le bien-être, le bonheur, le sommeil, l’amour, l’indépendance, l’éternité, bref,  » la lune en gélules  » dans ces drogues est dangereux. La meilleure réaction commence par l’information, la compréhension des mécanismes qui mènent à la dérive et des phénomènes d’accoutumance.
 
Dying for a cure
Peu de temps après la naissance de sa fille Rebecca Beddoe a été diagnostiqué avec la dépression post-natale. Deux ans plus tard, elle prenait six médicaments différents, y compris le lithium, un tranquillisant, un antipsychotique, et les antidépresseurs. Elle avait été diagnostiqué avec un trouble bipolaire; donné la thérapie de chocs électriques; fait de nombreuses tentatives sur sa vie; et a été tour à tour maniaque et consommée par le désespoir paralysant au cours de laquelle elle pouvait à peine bouger. Elle avait une fille de deux ans qu’elle connaissait à peine et d’une mère et partenaire qui étaient à la fin de leurs esprits, incapables de reconnaître la femme autrefois ambitieux, dynamique et très réussi qu’ils aimaient.
Médication Madness (anglais) de professeur peter Breggin
La grande majorité des individus vivent une vie exemplaire et n’ont pas commis d’actes criminels ou bizarre, avant de prendre les médicaments psychiatriques.
 
Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles ou dangereux, Philippe Even
Mais comment l’Etat en est-il arrivé à jouer ainsi contre les intérêts des patients et la nécessité de réduire les dépenses médicales? Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs. …Les médecins se vendent pour un plat de lentilles.
 
Confessions of a Medical Heretic par le docteur Robert Mendelsohn
je considère le médecin qui pratique la médecine moderne comme le plus grand danger pour la santé
 » les médecins sont malhonnêtes, corrompus, immoraux, malades, peu éduqués et carrément plus stupides que le reste de la société. Lorsque je m’apprête à rencontrer un médecin, je me vois devant une personne bornée… »
 
mensonges et vérités de diana Kircsh
extrait : « voila un exemple flagrant d’une manipulation des statistiques. La plupart des gens ne réalisent pas que l’augmentation de la durée moyenne de vie est surtout le résultat de la réduction du taux de mortalité infantile. Il y a cent ans, beaucoup d’enfants mouraient à la naissance et…Si cette réduction de taux en mortalité infantile est enlevée de l’équation, l’espérance de vie a seulement augmenté de 3,7  années depuis ces derniers 100 ans
 
LES MENSONGES DE LA MEDECINE du Dr. Roger DALET, MD – Ed. Hachette
Un livre exposant les peurs crées de toutes pièces par le corps médical sur les conséquences exagérés de certains troubles (cholestérol, hypertension) pour faire vendre des médicaments toxiques, inutiles et dangereux.
 
Cholestérol, mensonges et propagande du docteur michel de Lorgeril
Il livre ici toutes les preuves que la lutte contre le cholestérol est fondée sur des données statistiques biaisées, tronquées, voire manipulées. Lorsque seules les données scientifiques vérifiables sont retenues, il ne reste rien
 
•Le taux de cholestérol ne peut être réduit durablement ni par l’alimentation, ni par les médicaments. Il revient sans cesse à sa valeur initiale. •Le cholestérol n’est pas responsable de l’artériosclérose. •Les dépôts sur la paroi des artères sont
 
La vérité sur l’empire Rockefeller Drug: L’histoire des médicaments
Bealle utilisé son expérience professionnelle à faire un peu de creuser profondément dans la situation la liberté-of-the-presse et est venu avec deux éclatement expose – « L’histoire des médicaments », et « La Chambre des Rockefeller. » Le fait que, en dépit de sa familiarité avec le monde de l’édition et de nombreux contacts personnels importants, il ne pouvait pas obtenir ses révélations dans la copie jusqu’à ce qu’il fonde sa propre compagnie, The Columbia Publishing House, Washington DC, en 1949, était un excellent exemple de la censure silencieuse mais inflexible en vigueur sur «la terre de la liberté et la patrie des braves ». Bien que l’histoire de drogue est l’un des livres les plus importants sur la santé et la politique jamais à apparaître aux Etats-Unis, il n’a jamais été admis dans une grande librairie, ni examinée par aucun document de mise en place, et a été vendu exclusivement par courrier. Néanmoins, quand nous sommes arrivés à le lire, dans les années 1970, il était déjà dans sa 33e impression, sous une étiquette différente – Biworld Publishers, Orem, Utah….
…Ainsi les journaux continuent d’être nourris avec de la propagande sur les drogues et leur valeur présumée, même si, selon la Food and Drug Administration (FDA) 1,5 million de personnes ont débarqué dans les hôpitaux en 1978 en raison des effets secondaires des médicaments aux États-Unis seul, et malgré les déclarations récurrentes par intelligente et les médecins courageux que les articles les plus pharmaceutiques en vente sont au mieux inutile, mais le plus souvent nuisible ou mortelle dans le long terme….
Quelques livres médicaments, santé, escroqueries, crimes médicaux organisés
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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:22

"Il y a 30 ans, vous étiez hypertendu quand vous aviez plus de 17, puis 16, puis 15, puis 13, aujourd'hui même 12,5..."

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:17

http://translate.google.fr/translate?u=http%3A%2F%2Fwww.worstpills.org%2Fpublic%2Fpage.cfm%3Fop_id%3D5&sl=en&tl=fr&hl=&ie=UTF-8

 maladies induite par les médicaments (et surtout par les distributeurs)

Quelle est l'étendue territoriale du problème des effets indésirables?

Chaque année, plus de 9,6 millions d'effets indésirables se produisent dans les anciens Américains.  Une étude a révélé que 37 pour cent des effets indésirables chez les personnes âgées n'ont pas été signalés au médecin, sans doute parce que les patients ne se rendent pas compte les réactions ont été dus à ce médicament. Ce n'est pas très surprenant compte tenu du fait que la plupart des médecins avoué ne pas expliquer les effets négatifs possibles à leurs patients. 1

Nous avons fondé la suite des estimations nationales sur le bien-mené des études, principalement aux Etats-Unis:

  • Chaque année, dans les hôpitaux seulement, on compte 28000 cas de la vie en danger de toxicité cardiaque effets indésirables de la digoxine, le plus communément utilisé, de la digitaline (médicaments qui régulent la vitesse et la force des battements cardiaques) chez les personnes âgées. 2 Depuis que de nombreux de 40% ou plus de ces gens utilisent ce médicament inutilement (voir la discussion sur la digoxine), bon nombre de ces blessures sont évitables.
  • Chaque année, 41000 personnes âgées sont hospitalisées et 3300 de ces décès-d'ulcères causés par les AINS (anti-inflammatoires non stéroïdiens, généralement pour le traitement de l'arthrite). 3 milliers de jeunes adultes sont hospitalisés. (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer des saignements gastro-intestinaux.)
  • Au moins 16000 blessures dues à des accidents automobiles chaque année impliquant des conducteurs âgés sont attribuables à l'utilisation de substances psychoactives, en particulier les benzodiazépines et les antidépresseurs tricycliques. 4 drogues psychoactives sont ceux qui ont une incidence sur l'esprit ou le comportement.  (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer des accidents automobiles.)
  • Chaque année, 32000 personnes âgées souffrent de fractures de la hanche due à la drogue induit tombe, entraînant plus de 1500 morts. 5, 6 Dans une étude, les principales catégories de médicaments responsable de la chute conduisant à de fractures de la hanche ont été somnifères et les tranquillisants mineurs ( 30%), antipsychotiques (52%), et les antidépresseurs (17%). Toutes ces catégories de médicaments sont souvent prescrits inutilement, en particulier chez les personnes âgées.  (Voir la section sur les somnifères et les tranquillisants, médicaments antipsychotiques et les antidépresseurs, voir aussi la liste des médicaments qui peuvent causer des fractures de la hanche parce que la drogue induit des chutes.)
  • Environ 163000 Américains âgés souffrent d'une grave déficience mentale (perte de mémoire, démence) soit causée ou aggravée par la drogue. 7, 8 Dans une étude dans l'État de Washington, dans 46% des patients de la drogue induit mentale, le problème était mineurs causés par les tranquillisants ou des somnifères, dans 14%, par des drogues contre la pression artérielle élevée  et dans 11%, par antipsychotiques.  (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer ou aggraver la démence.)
  • Deux millions d'Américains âgés ou dépendants sont à risque de dépendance à l'égard du mineur tranquillisants ou des somnifères parce qu'ils ont utilisé tous les jours pendant au moins une année, même s'il n'existe pas de preuve acceptable que les tranquillisants sont efficaces pendant plus de quatre mois, et les chambres à coucher pilules pour plus de 30 jours. 9
  • Drug-induced dyskinésie tardive a développé dans 73000 personnes âgées, cette condition est le plus grave et commune à des effets indésirables des médicaments antipsychotiques, et il est souvent irréversible. Dyskinésie tardive se caractérise par des mouvements involontaires du visage, les bras et les jambes. Environ 80% des personnes âgées recevant des médicaments antipsychotiques n'ont pas de schizophrénie ou d'autres conditions qui justifient l'utilisation de ces médicaments puissants, tant de ces patients ont de graves effets secondaires de médicaments qui sont prescrits de façon inappropriée. 10 (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer dyskinésie tardive ou d'autres troubles du mouvement.)
  • point dans 61000 personnes âgées sont également dues à l'utilisation de médicaments antipsychotiques tels que l'halopéridol (Haldol), la chlorpromazine (THORAZINE), de la thioridazine (MELLARIL), trifluopérazine (STELAZINE), et fluphenazine (PROLIXIN). Il existe d'autres parkinsonisme - inciter les drogues, comme le métoclopramide (REGLAN), prochlorpérazine (COMPAZINE), et la prométhazine (PHENERGAN), prescrit pour des problèmes gastro-intestinaux. 11 (Voir la liste des médicaments qui peuvent causer parkinsonisme.)

Un grave problème existe parce que les deux médecins et les patients ne se rendent pas compte que pratiquement tout symptôme chez les personnes âgées et beaucoup de jeunes adultes peut être causée ou aggravée par la drogue. 12 Certains médecins et les patients du principe que ce sont en fait des réactions indésirables aux médicaments sont tout simplement des signes de vieillissement . En conséquence, de nombreux effets indésirables graves sont totalement négligés ou non reconnus jusqu'à ce qu'ils aient causé des dommages significatifs.

Les médicaments responsables des plus graves effets indésirables chez les personnes âgées sont les tranquillisants, somnifères et autres affectant l'esprit drogues; médicaments cardiovasculaires comme l'hypertension artérielle médicaments, de la digoxine, et médicaments pour troubles du rythme cardiaqieue, 13 et médicaments pour traiter les problèmes intestinaux .

Mentale Réactions des effets indésirables des médicaments: la dépression, des hallucinations, confusion, délire, perte de mémoire, altération de la pensée

Système nerveux Adverse Drug Reactions: parkinsonisme, des mouvements involontaires du visage, des bras, des jambes (dyskinésie tardive), dysfonctionnement sexuel

Des effets indésirables des médicaments gastro-intestinaux indésirables: perte d'appétit, la constipation

Les problèmes urinaires: difficulté à uriner, des fuites d'urine

Étourdissements permanent du Règlement

avec parfois pour conséquence des fractures de la hanche

Automobile accidents qui ont fait des blessés

Exemples spécifiques de patients avec des maladies induites par les médicaments.

Femme à domicile en raison d'une misprescribed cœur de drogues

Liz, 54 ans, a été prescrit un médicament pour le coeur  amiodarone (Cordarone) pour traiter une affection cardiaque. Elle n'a pas été dit que le médicament n'a pas été approuvé par la FDA pour son état.  La pharmacie notice mentionné les nausées et les étourdissements que des effets indésirables, mais pas de toxicité pulmonaire.Elle est maintenant en fonction d'une citerne d'oxygène pour respirer et ne possède pas la force de sa propre maison.

L'homme développe le parkinsonisme du fait des antipsychotiques prescrits pour "le syndrome du côlon irritable"

L arry a été en bonne santé à 58 ans souffrant de diarrhée l'homme croit être malade en raison du «syndrome du côlon irritable." Il a reçu trifluopérazine (STELAZINE), un antipsychotique puissant, afin de "calmer" son tractus intestinal. STELAZINE n'est pas encore approuvé pour traiter ces problèmes de santé. Six mois après le début de STELAZINE, Larry développe des symptome graves de Parkinson, une affection neurologique caractérisée par des tremblements, des mouvements limités, rigidité et instabilité posturale. Pour corriger cette situation, Larry a commencé sur la L-dopa (également connu sous le nom de la lévodopa), un médicament pour traiter la maladie de Parkinson. Vraisemblablement, le médecin ne s'est pas rendu compte la parkinsonisme a été induite par le médicament et la STELAZINE s'est poursuivie.  Depuis sept ans, Larry a pris ces deux médicaments jusqu'à ce que de voir un spécialiste de la maladie de Parkinson.  Le spécialiste reconnu la véritable cause de son problème, stoppe la STELAZINE, et se retire peu à peu la L-dopa sur une période de six mois.Larry's graves, parkinsonisme désactiver complètement dégagé.

Le même spécialiste de la maladie de Parkinson qui "guéri" de sa Larry Drug-induced parkinsonisme vu, dans tout juste trois ans, 38 autres patients à la drogue induit parkinsonisme et 28 de la drogue-induite dyskinésie tardive, un syndrome de mouvements involontaires.

Aucun de ces patients étaient psychotiques, l'une des conditions pour lesquelles les médicaments antipsychotiques sont approuvés.  Au contraire, les raisons les plus courantes d'utilisation des inducteurs de parkinsonisme drogues étaient l'anxiété chronique et troubles gastro-intestinaux. Le plus souvent coupable (dans 19 de ces 39 patients) a été REGLAN, généralement prescrits pour les brûlures d'estomac ou de nausées et de vomissements. Les médecins prescrivent souvent des REGLAN avant d'essayer d'autres plus conservateurs et plus sûres. D'autres médicaments qui introduit le parkinsonisme inclus prochlorpérazine (COMPAZINE), l'halopéridol (Haldol) et la chlorpromazine (THORAZINE) 14.

  Le saviez-vous?
  Drug-induced parkinsonisme

Chaque année, 61000 personnes âgées de développer Drug-induced parkinsonisme. Au moins 80 pour cent d'entre eux, à l'instar de Larry, n'aurait jamais dû être mis sur les médicaments provoquant la parkinsonisme, en premier lieu. Aussi, comme dans la situation de Larry, une grande partie de ces personnes ont les médecins qui pensent que leurs patients parkinsonisme développés spontanément.

Le problème est double. Les médecins ne parviennent pas à croire que l'état est causé par un médicament comme STELAZINE ou d'autres drogues comme le métoclopramide (REGLAN), prochlorpérazine (COMPAZINE) ou la prométhazine (PHENERGAN). Puis ils ajoutent un deuxième médicament pour traiter la maladie qui a effectivement été causé par le premier médicament.

La confusion et les hallucinations causées par l'ulcère de drogues

. Leticia a écrit au Public Citizen au sujet de son 80-year-old père, en disant qu'elle avait à maintes reprises demander à son médecin quant à l'éventuel rôle de son père l'ulcère de la drogue dans une source de confusion et d'hallucinations avant le médecin écouté.  Son père avait essayé trois médicaments différents - la cimétidine (Tagamet), la ranitidine (ZANTAC) et la famotidine (PEPCID) - pour ses ulcères, et chacun d'entre eux avait causé ces effets secondaires.  Lorsque le médecin est passé finalement le père de Leticia à un antiacide - l'hydroxyde d'aluminium et d'hydroxyde de magnésium (Maalox) - son esprit complètement vidés et il était son ancien soi-même, ne sont plus confus ou hallucinations.

Femme développe réversible mentale de tranquillisant

La première fois 79-year-old Sally médecin a vu son beau-fils, après plusieurs mois, il a noté qu'elle avait subi de graves atteinte à son esprit autrement forte. Elle était confuse et, pour la première fois de sa vie, n'a pas réussi à équilibrer ses conséquences financières.  Quand il a remis en question, elle a été en mesure de se rappeler que son problème a commencé au moment où elle a été mis sur le tranquillisant lorazépam (Ativan). Après ce lien a été découvert, le médicament a été lentement abandonné et le handicap mental disparu.

L'homme a accident automobile après une dose de tranquillisant

Ben, 64 ans, devait avoir une biopsie faite à un hôpital local, un matin. Le médecin lui a donné un échantillon gratuit d'un tranquillisant, l'alprazolam (Xanax), de prendre une heure environ avant la procédure afin qu'il serait assouplie pour la biopsie. Ben n'a pas été informé qu'il ne doit pas utiliser le médicament s'il allait à conduire. Pendant la conduite à l'hôpital pour la biopsie, il a noirci. La voiture est passé au-dessus une clôture et durable convient de 6000 $ de dommages, mais heureusement Ben est indemne. (Voir les médicaments qui peuvent causer des accidents automobiles.)

Dangereusement lent rythme cardiaque avec le propranolol utilisation chez les personnes âgées

Shara, une de 60 ans, assistant à une des seniors centre, a été lancé sur le propranolol (Inderal, Inderal LA) pour traiter son hypertension artérielle. Malheureusement, son médecin ne s'est pas rendu compte que la dose de ce médicament parfois utile doit être réduite chez les personnes âgées, la dose et elle a été prescrit était trop élevé pour elle. Deux jours après, elle a commencé à prendre le médicament, elle a commencé à se sentir très faible. L'effet secondaire était si mauvaise que le troisième jour sur la drogue, elle se rend à une salle d'urgence de l'hôpital, où son pouls était de 36 battements par minute.Ce faible taux dangereusement expliqué pleinement sa faiblesse. Le médicament a été arrêté, Shara et de la fréquence cardiaque est revenue à la normale.Plus tard, une faible dose d'un autre médicament a été prescrit et produit pas d'effets secondaires.

Enfant meurt du médicament prescrit pour Attention Deficit Hyperactivity Disorder

Jamal, un brillant 7-year-old boy, a été prescrit un antidépresseur, l'imipramine (Tofranil), pour traiter Attention Deficit Hyperactivity Disorder. Ses parents n'ont pas été fournis avec une totale, des informations précises sur la drogue. . En conséquence, ils ne savaient pas que la drogue peut provoquer la vie en danger les irrégularités des battements cardiaques (arythmies appelé), que la dose prescrite à Jamal était trop élevé et que les tremblements et convulsions que Jamal a commencé à avoir effectivement des effets secondaires du Tofranil.  Le traitement avec le médicament a été poursuivi, et un jour, à l'école, il s'est effondré et est mort d'une arythmie.. Si ses parents avaient été suffisamment mis en garde contre ce médicament, Jamal peut-être encore en vie aujourd'hui.

Poor prescription est souvent la cause des symptômes

L'Organisation mondiale de la santé, en examinant le problème des effets secondaires chez les personnes âgées, a fait état de certains principes applicables aux personnes de tous âges:

Très souvent, l'histoire et l'examen clinique des patients avec des effets secondaires révèlent qu'aucune indication valable [Objet] pour l'infraction de drogues a été présent ... Les effets indésirables peuvent dans une large mesure, être évitée chez les personnes âgées par le choix de médicaments sûrs et efficaces et son application thérapeutique en prescrivant des principes, comme en commençant par une petite dose, en observant le patient fréquemment, et d'éviter les trop polypharmacie [l'utilisation de plusieurs médicaments à en même temps] 15.

En d'autres termes, les patients qui souffrent de réactions indésirables aux médicaments sont très souvent victimes de la drogue qu'ils n'auraient pas dû être prise de manière que la première place.

En 1992, une étude publiée dans les soins médicaux examiné prescriptions donné que des gens ont été déchargées d'un hôpital communautaire. L'accent a été mis sur les qui ont été prescrit de trois ou plus de médicaments pour traiter les maladies chroniques 16.

Les résultats de cette étude sont tout à fait préoccupante, tant en ce qu'ils disent de l'ordre des médecins les pratiques de prescription et à titre de preuve des dommages potentiels que ces pratiques de prescription peut faire pour les personnes âgées. Sur les 236 personnes étudiées:

  •   81 pour cent avaient un ou plusieurs problèmes de prescription avec les prescriptions qu'ils ont été données, y compris les médicaments inappropriés, les doses ou le programme;
  • 60 pour cent a été accordée une ou plusieurs ordonnances pour un médicament qui a été un choix inapproprié de la thérapie, car elle était soit «moins de médicaments optimale compte tenu du diagnostic du patient" ou il n'y avait pas de mention à cet effet;
  • 50 pour cent ont reçu soit trop élevé ou trop faible dose du médicament;
  •  44 pour cent des patients ont reçu une combinaison de médicaments qui peuvent entraîner des interactions médicamenteuses néfastes;
  • 20 pour cent ont reçu des médicaments inutilement double emploi avec l'effet thérapeutique d'une autre drogue qu'ils prennent.

Heureusement, un pharmacien conseil impliqués dans la prise en charge de plus de la moitié de la population a été en mesure de réduire les risques pour les patients en formulant des recommandations aux médecins prescripteurs.

Disponible sur le site Web sont des listes des plus commune de drogue induit des effets néfastes ainsi que les médicaments qui peuvent provoquer chez eux. Dans la case ci-dessous sont quelques-uns des symptômes qui, même s'ils sont souvent causés par la drogue, sont les types de problèmes que vous, ou de nombreux médecins pourraient premier attribut simplement à "vieillir" ou "se nerveux" au lieu de à un médicament.

Les effets indésirables qui peuvent être causés par les médicaments?

Le médicament-maladie induite listes sur ce site doivent être utilisés par les patients qui ont toute une gamme de problèmes de santé (ou par les médecins) afin de découvrir les médicaments, en particulier ceux qu'ils utilisent ou envisagent d'utiliser, peut provoquer des effets indésirables réactions. Les listes sont compilées à partir de diverses sources. 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23

Bien que certains de ces effets indésirables se produisent le plus souvent chez les personnes âgées, chacun d'entre eux ont également été documentée chez les jeunes gens, bien que parfois pas aussi souvent.

 

Résumé des effets indésirables et les médicaments qui causent les
 Seuls les plus facilement détectables problèmes sont pris en compte, et que la plupart des drogues causant chaque problème sont énumérés.

Des effets indésirables des médicaments

Nombre de médicaments

Exemples de noms de marque

Depression Dépression166Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac Accutane, Advil, Catapres, Cipro, Dalmane, Factive, Inderal, Naprosyn, Norpace, Pepcid, Reglan, Tagamet, Talwin, Ultracet, Valium, Xanax, Zantac
Psychoses/ hallucinations Psychoses / hallucinations156Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonata, Tagamet, Ultracet, Valium, Vioxx Aldomet, Benadryl, Catapres, Celebrex, Cipro, Dexatrim, Elavil, Halcion, Inderal, Lanoxin, Procanbid, Sonate, Tagamet, Ultracet, le Valium, le Vioxx
Confusion/ delirium Confusion / délire147Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac Amaryl, Ambien, Benadryl, Catapres, Cipro, Compazine, Diabeta, Diabinese, Dymelor, Elavil, Mellaril, Sinemet, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac
Dementia Démence76Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax,Zantac Aldomet, Inderal, Maxzide, Mellaril, Regroton, Restoril, Ser-Ap-Es, Tagamet, Valium, Xanax, Zantac
Insomnia Insomnie35Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24 Avelox, Floxin, Inderal, Lasix, Mevacor, Nicorette, Sudafed, Synthroid, Theo-24
Parkinsonism Parkinsonisme40Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine Abilify, Aldomet, Asendin, Cardizem, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Mellaril, le Prozac, Reglan, Regroton, Risperdal, Thorazine
Tardive dyskinesia Dyskinésie tardive19Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa Abilify, Asendin, Buspar, Compazine, Geodon, Haldol, Mellaril, Risperdal, Thorazine, Wellbutrin, Zyban, Zyprexa
Dizziness on standing Vertiges de s'arrêter154Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, Minipress, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonata, Tenormin, Valium, Xanax Abilify, Calan SR, Cardizem CD, Cardura, Catapres, Compazine, Elavil, Geodon, Haldol, Hytrin, Inderal, Isordil, Lasix, MINIPRESS, Nitro-Bid, Prinivil, Procardia, Sonate, Tenormin, Valium, Xanax
Falls/hip fracture Falls / fracture de la hanche59Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax Ambien, Celexa, Compazine, Dalmane, Elavil, Haldol, Isordil, Lexapro, Navane, Nembutal, Prozac, Restoril, Sinequan, Valium, Xanax
Automobile accidents Automobile accidents28Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft Ambien, Asendin, Ativan, Celexa, Elavil, Lexapro, Norpramin, Pamelor, Paxil, Prozac, Sinequan, Tofranil, Valium, Xanax, Zoloft
Sexual dysfunction La dysfonction sexuelle127Abilify, Calan SR, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac Abilify, SR Calan, Geodon, Lopid, Lopressor, Norpace, Pepcid, Proscar, le Prozac, Sarafem, Tagamet, Tegretol, Transderm-Scop, Zantac
Loss of appetite, nausea, vomiting Perte d'appétit, des nausées, des vomissements63Advil, Avelox, Daypro, Demerol, EES, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram Advil, Avelox, Daypro, Demerol, SEE, Feldene, Feosol, K-Lor, Lanoxin, Levaquin, Relafen, Sumycin, Theo-24, Ultracet, Ultram
Abdominal pain, ulcers, GI bleeding Douleurs abdominales, ulcères, hémorragies gastro-intestinales48Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, Vioxx, Zithromax Advil, Anaprox, Celebrex, Cortone, Daypro, Decadron, Feldene, Indocin, Motrin, Relafen, Somophyllin, Theo-24, Ultracet, le Vioxx, Zithromax
Constipation107Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol No. 3, Tylox, Ultram, Urised Amphojel, Benadryl, Caltrate, Cogentin, Inderal, Lotronex, Maalox, Talwin, Tylenol n ° 3, Tylox, Ultram, Urised
Diarrhea Diarrhée56Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips’ Milk of Magnesia, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm Aciphex, Aldomet, Avelox, Cipro, Dulcolax, Maalox, Phillips «Lait de Magnésie, Nexium, Peri-Colace, Precose, Prilosec, Sporanox, Sumycin, Zelnorm
Lung toxicity Toxicité pulmonaire59Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken Cordarone, Feldene, Inderal, Prinivil, Tegretol, Vasotec, Visken
Blocked urination Bloqué uriner56Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban Antivert, Artane, Benadryl, Bentyl, Compazine, Duragesic, Elavil, Felbatol, Haldol, Sinequan, Tavist, Ultram, Zyban
Urine leakage Les fuites d'urine84Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, Minipress, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, Zaroxolyn, Ziac, Zoloft Aricept, Celexa, Esidrix, Hytrin, Inderal, Lasix, Lexapro, Lithobid, MINIPRESS, Neurontin, Paxil, Restoril, Tenormin, Valium, Xanax, ZAROXOLYN, Ziac, Zoloft
Psychotrope ou catastrophe ?
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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:15

Industrie pharmaceutique : "ils ne sont pas dans les affaires pour soigner le cancer, Alzheimer, les maladies de coeur, parce que si ils le faisaient, ils se mettraient eux mêmes en dehors des affaires !"

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:15
Classification des médicaments de l'âme

http://www.agidd.org/?publications=guide-critique-des-medicaments-de-lame

...

Les autres tranquillisants

- Les bêta-bloquants
- Le buspirone

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:14
Dépression et idées suicidaires induites par des médicaments

Plusieurs médicaments de diverses classes ont été associés à la survenue de dépression et/ou d’idées suicidaires. La suspicion qu’un médicament puisse être à l’origine d’une dépression et/ou d’idées suicidaires, ne repose souvent que sur des notifications de cas; des études cliniques démontrant un lien causal sont cependant parfois disponibles. Chez un patient en particulier, il est toutefois difficile de prouver un lien causal: il s’agit en effet souvent de patients qui, en raison de leur affection sous-jacente, présentent un risque de développer une dépression et/ou des idées suicidaires.

Les médicaments suivants peuvent provoquer une dépression et/ou des idées suicidaires.

  • Antidépresseurs. Des données indiquent que les antidépresseurs peuvent provoquer, chez les enfants et les adolescents, des idées suicidaires et de l’automutilation; de plus, leur efficacité (à l’exception peut-être de la fluoxétine) dans cette tranche d’âge n’est pas suffisamment prouvée [voir Folia décembre 2004 et Folia aôut 2006 ]. De même, chez l’adulte, un risque accru d’idées suicidaires ne peut être exclu pour aucun antidépresseur [voir Folia de mars 2006 ]
  • Antiépileptiques. Une analyse effectuée par la FDA, portant sur environ 200 études contrôlées par placebo avec 11 antiépileptiques, a montré avec les antiépileptiques une incidence deux fois plus élevée d’idées suicidaires (0,43% versus 0.22%); cette augmentation était perceptible dès la première semaine du traitement (www.fda.gov/cder/drug/infopage/antiepileptics/default.htm).
  • Atomoxetine ,chez des enfants et des adolescents atteints d’ADHD [voir Folia de novembre 2007 ].
  • Benzodiazépines , administrées à des patients dépressifs, peuvent en raison de leur effet désinhibiteur conduire au suicide.
  • Interférons , en particulier l’interféron alpha.
  • Isotretinoïne [voir Folia de mars 2006 ].
  • Mefloquine [voir Folia de mai 2001 ], surtout à des doses élevées, telles que celles utilisées dans le traitement de la malaria.
  • Montélukast. Il s’agit d’un avertissement précoce de la FDA, dans lequel la FDA ellemême souligne que le lien de causalité doit encore être examiné (www.fda.gov/cder/drug/early_comm/montelukast.htm).
  • Rimonabant [voir Folia de février 2008 ].
  • Varénicline. Avec ce médicament utilisé pour faciliter l’arrêt du tabagisme (www.fda.gov/cder/drug/infopage/varenicline/default.htm , plusieurs notifications de cas ont été rapportées depuis sa commercialisation.
  • Divers: antiandrogènes (p.ex. acétate de cyprotérone, flutamide), β-bloquants (surtout les lipophiles), cinnarizine, flunarizine, méthyldopa et agonistes dopaminergiques, progestatifs.


 
Médicaments pouvant causer une dépression
  • Tranquilisants et sédatifs
  • Antihistaminiques
  • Bêta bloquants
  • Thérapies hormonales
  • Corticostéroïdes
  • Chimiothérapie
  • Relaxants musculaires
  • Coupes-faim
  • Antipsychotiques
  • Amphétamines

 

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9 janvier 2012 1 09 /01 /janvier /2012 00:13



Tableau 1 Médicaments inducteurs d'hypertension artérielle [13


Antidépresseurs : inhibiteurs de la monoamine-oxydase, tricycliques




Antihistaminiques




Anti-inflammatoires non stéroïdiens




Bêtabloquants




Bromocriptine




Carbamazépine et autres traitements inducteurs du cytochrome P450 (rifampicine, phénytoïne, phénobarbital, millepertuis)




Ciclosporine




Contraceptifs oraux




Corticothérapie




Disulfirame (Antabus®)




Ergotamine




Érythropoïétine




Produits anesthésiants : kétamine, desflurane




Stéroïdes anabolisants




Sumatriptan




Sympathomimétiques : lévodopa, décongestionnants nasaux (phénylpropanolamine, éphédrine, phényléphrine), anorexigènes (Dexamin®), collyres (Visine®)




Tramadol




Vasopressine

Les bêta-bloquants à l'origine d'hypertension artérielle d'origine médicamenteuse
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